samedi 7 décembre 2013

Les Cools musulmans américaines «"jeunes américains musulmans et fiers de l'être"»

  Mais qui sont les Mipsterz, ces musulmans hipsters ?                 
Zoom sur les "Mipsterz", ces jeunes branchés américains, qui, depuis la publication d'une vidéo des "Mipsterz" girls qui a fait le tour de la Toile, divisent la communauté pratiquante aux Etats-Unis avec leur nouveau concept.
         
Le nouveau phénomène : les
© Capture d'écran de la vidéo "Somewhere in America" -

Le nouveau phénomène Mipsterz

Elles ont une manucure toute fraîche et font du skate en talons hauts. Elles portent des lunettes roses en forme de cœur et des t-shirts à l'effigie de Marilyn Monroe. Elles font des virées en moto et se prennent en photo avec leurs iPhones. Elles sont toujours à la pointe de la mode, mais n'oublient jamais leur foulard islamique. Bref, une façon de montrer que les jeunes musulmanes américaines peuvent être "in" et "cool"... sans délaisser leur attachement à l'Islam pour autant. Mais qui sont ces filles "Mipsterz", qui font le buzz depuis qu'une vidéo intitulée "Somewhere in America" a été postée sur Youtube le 2 décembre ? #Société // Le nouveau phénomène "#Mipsterz"
Dans cet insolite clip réalisé par Abbas Rattani et Habib Yazdi de Sheikh & Bake Productions, on peut donc voir des jeunes femmes "Mipsterz" qui font du skate sur une musique de Jay Z, swag. On peut même y apercevoir l'escrimeuse Ibtihaj Muhammad, première athlète musulmane à représenter les États-Unis dans des compétitions sportives internationales.

Mipster + Hipster = Mipsterz

Les "Mipsterz", contraction de "Hispter" et "Muslim" (Musulman), font surtout le buzz depuis que la vidéo a été postée. Pourtant cela fait plus d'un an que la communauté existe, comme le précise leur page Facebook, "Mipsterz - Muslim Hipsters".


Leur groupe Facebook permet de comprendre plus précisément qui sont ces jeunes femmes, et toute la communauté Mipsterz en général : "Un Mipster est quelqu'un à la page au niveau de la musique, de la mode, de l'art, de la pensée critique, de la nourriture, de la créativité". Mais un Mipster est aussi "quelqu'un qui puise son inspiration dans les textes sacrés de la tradition islamique. Un Mipster est une identité ironique qui fait plus office d'une perpétuelle critique de soi et de la société", peut-on lire encore dans les infos de la page. Le "Mipsterz" revendique ainsi sa double appartenance, faisant fi des contradictions, alliant le style "Hipster" à la religion musulmane. D'ailleurs, les membres ne manquent pas d'ironiser à ce propos sur les critiques dont ils sont victimes : "Attends, ils nous détestent parce qu'on est Musulmans ? Je pensais qu'ils nous détestaient parce qu'on était Hipsters !"

Zoom sur les "Mipsterz", ces jeunes branchés américains, qui, depuis la publication d'une vidéo des Mipsterz girls qui a fait le tour de la Toile, divisent la communauté pratiquante aux Etats-Unis avec leur nouveau concept.
                                    © Capture d'écran de la vidéo "Somewhere in America" -                                 

Des avis partagés sur la communauté des Mipsterz

Dès sa mise en ligne sur Youtube, leur vidéo "Somewhere in America" a lancé un véritable débat sur l'image de la femme musulmane aux États-Unis, au sein duquel les avis sont partagés. Selon le site d'informations sur les activités cultuelles et culturelles musulmanes Oumma.com, le clip "détonne dans leur communauté d’origine, qui a la désagréable impression que tout fout le camp." Le Dr Souad Abdul Khabeer, un universitaire musulman, rappelle que "le foulard de la femme musulmane n’est pas seulement un accessoire de séduction, de mode, que l’on achète comme n’importe quel autre accessoire." Sana Saeed, la rédactrice en chef du Islamic Monthly, est elle aussi radicale. Elle reproche aux deux réalisateurs de se focaliser sur le côté superficiel, et elle n'est pas la seule.

  1. @amgh0 Nah, I think there's a highly inappropriate message being sent with images of hijab wearing Muslim women set against that song.

@SanaSaeed Why are we grouping all Muslim women together? We come in a variety. To say that this video displays objectification is

So this "Somewhere In America" video. Nah, son. http://drsuad.tumblr.com/post/68745089632/somewhere-in-america-somewhere-in-america-there  @Margari_Aziza @PreciousSpeaks @DawudWalid @sukaynah @LoveInshAllah

Traduction : "Pourquoi groupons-nous toutes les femmes musulmanes ensemble ? Nous nous déclinons en toute une gamme. Pour dire que cette vidéo affiche une objectivation."
"Donc cette vidéo "Somewhere in America". Non, fils."

Sheikh & Bake Productions, dont le but est de "créer une culture qui promeut la liberté d'expression, l'engagement significatif avec d'autres et l'autoréflexion critique", a tout de même reçu des félicitations. Quant à Hajer Naili, l'une des jeunes femmes de la vidéo, elle a défendu les producteurs sur le site Womensanews.org : "La seule et unique règle qu'ils nous ont donné c'était "Soyez vous-même et amusez-vous !" La femme que je suis dans la vidéo, c'est la femme que je suis tous les jours."  Quoi qu'il en soit, la vidéo et ses 35 000 vues ont mis en avant cette communauté de "jeunes américains musulmans et fiers de l'être".

Mipsterz un jour, Mipsterz toujours ?

En attendant, les Mipsterz surfent sur la vague de la tendance, épaulés par les internautes de leur page qui réunit quelques 2779 fans, où les commentaires positifs et les éloges vont bon train : "Bravo à vous d'essayer de montrer aux non-Musulmans que les Musulmans peuvent être cools et branchés", peut-on lire sur le post de TraBelsi Marwa, par exemple.

En tout cas, le phénomène est devenu si populaire aux Etats-Unis qu'un site de rencontre, nommé "Hipster Shaadi" a été créé spécialement pour les "Mipsterz". Les deux créateurs du site, Shereen Nourollahi, 26 ans, et Humaira Mubeen, 24 ans, voulaient "quelque chose de très simple, qui permette aux internautes d’écrire sur eux-mêmes. Pas comme les autres sites où les parents postent des profils sympas et très propres qui mettent en avant les diplômes de leurs enfants, leur taille et leur bonne mine." Le slogan du site sur Twitter ? "Trop cool pour rester seul." On n'aurait pas trouvé mieux.
http://www.glamourparis.com/amour-et-sexe/actualite/articles/nouveau-phenomene-muslim-hipster-mipsterz/21463/page/1

Commentaire sur Facebook de Virginie Féray Perez

Virginie Féray Perez
Je l'ai vécu en France ... et pour ce pays de pourtant 65 millions d'habitants ... c'est pour dans environ 20 ans, c'est sûr !!!! Imaginez la vitesse avec laquelle ça va se passer ici, avec moins de 8 millions et une charte des droits et libertés, que tous les intégristes utilisent pour leur plan de conquête !!! Le Canada est l'endroit rêvé pour eux, mieux que la France ... puisque le magnifique slogan, individualiste de "vivre et laisser vivre" est considéré comme la seule logique à la tolérance, au "politiquement correct" ... cet adage individualiste à l'extrême qui en arrange beaucoup, tant les gens sont dans leur petit monde d'égoïste et se donnent l'illusion d'être des gens formidables ... mais face à des intégristes machiavéliques, ils en sont en réalité, à tolérer l'intolérable pour leur identité !!! Tous ces gens ont intérêt à ouvrir les yeux sur ce qu'il se passe ailleurs dans le monde où se développe l'islam, ils ont intérêt à chercher les bonnes informations ... par exemple, ces pro-multiculturalistes savent-ils que tous les pays qui ont testé avant eux le multiculturalisme, déclarent l'échec cuisant de ce système, savent-ils que l'Égypte ou encore le Liban était chrétiens il n'y a pas si longtemps, et que de nos jours, les chrétiens y sont persécutés, pendus ou au mieux, contraints de fuir en masse leur propre terre, savent-ils que des milices musulmanes font la loi en plein cœur de Londres, de Marseille ou de Paris, savent-ils que le coran est enseigné dans les écoles publiques françaises, et également dans des écoles publiques canadiennes, par le biais du cours d'éthique et culture religieuse, formidable outil pour faire perdre les valeurs de la société canadienne en passant par les plus jeunes ... savent-ils que les mosquées de Montréal prônent et diffusent la haine par le biais de leurs imams et de livres interdits en Occident, savent-ils qu'avec leur 2 enfants par famille, contre 8 pour les musulmans, leur démocratie est en danger de mort, savent-ils réellement ce que signifie le voile ... j'en doute ! Il est pourtant le symbole de la souffrance et de la soumission de la femme, et certaines ont perdu la vie pour avoir refusé de le porter, savent-ils que les intégristes ne rêvent, sur Terre que de l'obscurantisme, pour obtenir, pour les hommes seulement, le paradis, avec ses vierges et ses rivières de vin ... comme si ce n'était pas ici et maintenant qu'il fallait être heureux, savent-ils au moins toutes les horreurs qui sont inscrites dans le coran et que les islamistes appliquent à la lettre .... ??????? Je pourrais continuer encore longtemps, mais une chose est sûre, les multiculturalistes n'ont aucune idée de ce qu'est l'islam et l'islamisme, et le pire, c'est qu'ils ne cherchent même pas à savoir !!!!

Lettre de Marc Lépine


Suite à un petit débat sur Facebook, j’ai retrouvé une copie de la lettre de Marc Lépine, finalement je n’ai retrouvé aucun passage où il dit clairement avoir agi parce que ces femmes transgressaient les lois islamiques.
Lorraine

Texte référence - 6 décembre 1989
 Lettre de Marc Lépine [1]
 [texte intégral]
par Marc Lépine

 Excusez les fautes. J'avais 15 minutes pour l'écrire (Voir aussi Annexe)

Veillez noter que si je me suicide aujourd'hui 89/12/06 ce n'est pas pour des raisons économiques (car j'ai attendu d'avoir épuisé tout mes moyens financiers refusant même de l'emploi) mais bien pour des raisons politiques. Car j'ai décidé d'envoyer Ad Patres les féministes qui m'ont toujours gaché la vie. Depuis 7 ans que la vie ne m'apporte plus de joie et étant totalement blasé, j'ai décidé de mettre des bâtons dans les roues à ces viragos.

 J'avais déjà essayés dans ma jeunesse de m'engager dans les Forces comme élève-officier, ce qui m'aurais permit de possiblement pénétrer dans l'arsenal et de procédé Lortie dans une rassia. Ils m'ont refusé because associàl. J'ai donc attendu jusqu'a ce jour pour mettre à exécution mes projets. Entre temps, j'ai continué mes études au grès du vent car elles ne m'ont jamais intéressée sachant mon destin à l'avance. Ce qui ne m'a pas empécher d'avoir de très bonnes notes malgré ma théorie de travaux non remis ainsi que la carence d'étude avant les examens.

 Même si l'épitète Tireur Fou va m'être attribué dans les médias, je me considère comme un érudit rationnel que seul la venu de la Faucheuse on amméné à posé des gestes extrèmistes. Car pourquoi persévéré à exister si ce n'est que faire plaisir au gouvernement. Etant plûtot passéiste (Exception la science) de nature, les féministes ont toujours eux le dont de me faire rager. Elles veulent conserver les avantages des femmes (ex. assurances moins cher, congé de maternité prolongé précédé d'un retrait préventif, etc.) tout en s'accaparant de ceux des hommes.

 Ainsi c'est une vérité de la palice que si les Jeux olympiques enlevaient la distinction Homme/Femme, il n'y aurait de Femmes que dans les compétitions gracieuses. Donc les féministes ne se battent pas pour enlever cette barrière. Elles sont tellement opportunistes qu'elles ne négligent pas de profiter des connaissances accumuler par les hommes au cours de l'histoire. Elles essai toutefois de travestir celles-ci toute les fois qu'elles le peuvent. Ainsi l'autre jour j'ai entendu qu'on honoraient les canadiens et canadiennes qui ont combattus au front pendant les guerres mondiales. Comment expliquer cela alors que les femmes n'étaient pas autorisés à aller au front??? Va-t-on entendre parler des légionnaires et galériennes de César qui naturellement occuperont 50% des effectifs de l'histoire malgré qu'elles n'a jamais exister. Un vrai Casus Belli.

 Désoler pour cette trop compendieuse lettre.
 Marc Lépine


 Annexe

 [Suit une liste de 19 noms]

 Ont toutes Failli disparaitre aujourd'hui. Le manque de temps (car je m'y suis mis trop tard) à permis que ces féministes radicals survives.

 Alea Jacta Est

 [1] Marc Lépine, Lettre de Marc Lépine, Publiée dans La Presse, le 24 novembre 1990 et dans le livre de Adrian Cernea, Poly 1989 : Témoin de l'horreur, Éditions Lescop © 1999.

Biographie[modifier | modifier le code]

Marc Lépine est né d'une mère québécoise et d'un père algérien, Rachid Liass Gharbi. Celui-ci ne considérait pas les hommes et les femmes égaux et a abusé physiquement et mentalement de sa femme et de son fils Marc[2]. Lorsqu'il a sept ans, ses parents se séparent et il vit ensuite avec sa mère.
Durant l'hiver 1980-1981, il tente d'entrer dans les Forces armées canadiennes, mais, selon sa lettre de suicide, il n'est pas admis en raison de son attitude « antisociale ». En 1982, il remplace son nom pour celui de Marc Lépine[réf. nécessaire].
Il débute ses études collégiales en sciences pures en 1982, mais change après la première année pour un programme de technologie de l'électronique qu'il abandonne au dernier semestre sans donner d'explication[3],[4],[5]. Lépine est admis à l'École polytechnique de Montréal en 1986, à la condition qu'il complète deux cours supplémentaires au collège. Il en complète un des deux durant l'hiver 1989[6],[7],[8].
La brève biographie que la police a publiée de lui après les événements le décrit comme un être intelligent, mais troublé[9].

Vidéos marquantes

Les vidéos qui m’ont le plus marquée cette semaine.
Chaque jour j’en apprends de plus en plus.
Ce n’est vraiment plus une question de simple voile, c’est toute notre structure démocratique qui se sent menacée.
Toutes ses vidéos proviennent soit de mes amis Facebook ou directement de youtube.

Lorraine

Islamisation ! France Allemagne Suède Canada États-unis Russie..


Vous avez peur ....Vous devriez !

 
Obama le musulman veut islamiser l'Amérique et l'Occident



Islam - Les Trois Phases du Djihad

GB : L'islamisme sera classé comme une idéologie

 

Le Canada et le Québec devraient emboîter le pas, même si la distinction entre islam, pratique religieuse, et islamisme, qualifié de "déformation de l'islam", ne sera pas facile à faire. Cette distinction permettait de refuser à l'islamisme, vu comme idéologie, des accommodements "religieux" et autres avantages reconnus aux institutions à caractère religieux tels que les exemptions de taxes.
Le politologue ontarien Salim Mansur, professeur à l'Université Western, définit l'islamisme comme suit dans cet article : Salim Mansur sur l'islamisme comme idéologie politique :
«L'islamisme est une idéologie politique, une idéologie politique armée du même type que le bolchevisme ou le maoïsme. De même que le communisme était un mouvement internationaliste poursuivant un objectif internationaliste - renversement de la liberté et écrasement des démocraties -  de même aujourd’hui l'islamisme est engagé dans un effort mondial pour renverser les démocraties et étendre les frontières où il pourra mettre en œuvre son idéologie, la charia. [...]
En fait, ces objectifs ne sont pas secrets. Ils sont prêchés tous les jours dans les mosquées à travers le Québec et le Canada, et l’agenda des islamistes est présenté à nos politiciens et partis politiques sous la forme d’exigences à caractère religieux.»
L'islamisme vise à faire appliquer la charia, soit le droit musulman, dans nos sociétés. Me André Poupart, auteur de l'ouvrage «Adaptation et immutabilité en droit musulman. L'expérience marocaine»  explique la différence entre le droit occidental et le droit musulman. 



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La Grande-Bretagne a l'intention de classer «l'extrémisme islamiste» comme une idéologie distincte, a indiqué le Premier ministre David Cameron.
Cela a été décidé après l'assassinat d'un soldat britannique agressé par deux hommes dans une rue fréquentée du sud-est de Londres en mai dernier.
Les deux hommes, qui ont décidé de plaider non coupable lors de leur procès, ont affirmé avoir agi pour venger ce qu'ils considèrent comme une guerre menée par la Grande-Bretagne contre les musulmans.
David Cameron a précisé qu'il entendait mettre en oeuvre les recommandations faites par un groupe de réflexion constitué après le meurtre de Lee Rigby, membre du régiment royal des fusiliers, dans l'après-midi du 22 mai alors qu'il se promenait dans le quartier de Woolwich et ne se trouvait pas en service.
«Cet été, nous avons assisté à un événement qui a choqué le pays», a déclaré David Cameron actuellement en visite en Chine. «Ces tragédies sont des signaux d'alerte pour le gouvernement et pour l'ensemble de la société afin de prendre des mesures contre l'extrémisme sous toutes ses formes», a-t-il dit.
L'extrémisme islamiste sera désormais classé comme une idéologie distincte qui ne devra pas être confondue avec les autres pratiques religieuses traditionnelles. L'objectif est de lutter contre l'influence des «prédicateurs de la haine» dont les sermons ont tendance à radicaliser le comportement de certains fidèles.
La nouvelle définition mentionnera clairement que «l'extrémisme islamiste» est une interprétation déformée de l'islam qui a trahi les principes de cette religion et cherche à semer la division. Quelque 2,7 millions de musulmans vivent en Grande-Bretagne.
Source : Tribune de Genève, 4 décembre 2013

vendredi 6 décembre 2013

Pour en finir avec le le cancer islamique, faudra-t-il dresser des tribunaux révolutionnaires ?

Nos politiques, issus de la coalition UMPS, nos journalistes pour la plupart de gauche, n’ont de cesse de falsifier, d’ignorer les agressions diverses et variées que le peuple français subit tous les jours depuis des dizaines d’années. Quels en sont les auteurs ? Des musulmans intégristes qui pratiquent la Charia. Qu’est ce que la Charia ? On ne cessera de le répéter et de le répéter encore : c’est l’application intégrale dans une société donnée, des 114 sourates, des 6236 versets qui composent le Coran, texte supposé révélé par Allah au soi-disant prophète Mohamed, auquel il faut rajouter plus de 25 000 hadits regroupant ses faits, ses gestes et ses propos durant son existence. Ces hadits constituent, pour certains extrémistes musulmans, des références ayant une valeur au moins égale à celle du Coran. Le vrai musulman a donc, de par ces textes, l’obligation de s’y soumettre et d’entrainer avec lui le monde entier. Comment ? Il se doit, sans réfléchir, sans raisonner, sans se poser de questions, de suivre à la lettre les préceptes du Coran, s’il veut être un bon musulman et gagner, quand il sera mort, le Paradis d’Allah. Pour les infidèles, c’est à dire les autres habitants vivant sur la planète Terre – juifs, chrétiens, bouddhistes, mécréants, athées, adeptes de sectes diverses et variées – le vrai musulman a l’obligation, au nom de la guerre sainte ou jihad, de tout faire pour les convertir à l’Islam. Celui qui refusera de renier sa foi, sera condamné à mort et exécuté, en général, par égorgement.
Ceci étant rappelé, pour bien comprendre ce qui suit, je dénonce avec la plus extrême des vigueurs, la complicité, la lâcheté, l’ignominie de nos dirigeants politiques, avec le soutien indéfectible de journalistes à leur botte. Quelles accusations je porte contre eux ? De fermer les yeux sur les crimes commis par les musulmans ou les islamistes, contre le peuple français et ce, depuis des dizaines d’années. Les premiers agissent pour de sales raisons électoralistes. Les autres se réfugient derrière de malsains paravents idéologiques pour mieux manipuler une opinion naïve et endoctriner les faibles d’esprit. Avec parfois, des pensées mercantiles.
Certains musulmans ou islamistes -les deux termes sont synonymes,- ont adhéré à des mouvements terroristes violents et divers, tels que  Al Qaida, Frères musulmans, Boko Aram, Aqmi….liste non exhaustive, Leur but : islamiser par la force le monde entier conformément aux préceptes du Coran qui, faut-il le rappeler, constituent pour ces jihadistes une obligation. Et cela se passe dans le silence étourdissant de la communauté musulmane internationale, appelée encore la Ouma, qui jamais ne dénonce les atrocités commises au nom d’un soi-disant livre saint. Et quand certains élèvent la voix pour condamner les infractions, les crimes, les délits, les exactions voire les meurtres commis par ces fanatiques extrémistes religieux, ils sont, dans les pays occidentaux et en France en particulier, immédiatement rappelés au respect de la diversité, de la liberté religieuse et d’opinion par la clique des politicards et des journaleux. Ces derniers, au nom du politiquement correct, ne se privent pas de traiter de racistes et d’islamophobes, les défenseurs de la laïcité, du droit, de l’identité nationale, des principes démocratiques et républicains. Ne leur reprochent-ils pas, également, de stigmatiser, en permanence, les adeptes d’une secte présentée comme une religion de paix, d’amour et de tolérance ?
Mais, n’est ce pas l’ardente obligation de nos gouvernants de faire respecter les lois qui nous régissent, de les appliquer avec toute la sévérité requise, quand certains les enfreignent, enfin de punir celles et ceux qui s’arrogent le pouvoir d’y déroger ? Eh bien non ! C’est le contraire qui se produit. Nous constatons, avec effarement, un comportement permissif des pouvoirs publics et de la presse envers les auteurs de crimes et délits, commis sur le territoire de la République française. Véritable collusion odieuse et inacceptable, entre des responsables élus et / ou nommés, et des racailles répugnantes, trop souvent impunies qui sont la gangrène de la société française d’aujourd’hui.
Comment accepter que nos gouvernants se fassent les complices des ennemis de la République ? Le peuple est en droit d’exiger le respect des lois par tous les citoyens, quels que soient leurs origines, leur statut social, leur religion. La Constitution de la France est violée chaque jour qui passe, dans l’indifférence quasi générale, et avec la complicité passive et active de l’Etat.
Faudra-t-il à l’instar des révolutionnaires de 1789, ériger des barricades, créer des comités de salut public, des tribunaux révolutionnaires pour qu’enfin, soit définitivement stoppée la progression inexorable de ce cancer islamique qui nous ronge avant de nous tuer ?
Charles Djéno
http://ripostelaique.com/pour-en-finir-avec-le-le-cancer-islamique-faudra-t-il-dresser-des-tribunaux-revolutionnaires.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+ripostelaique%2FznSM+%28Riposte+Laique%29

jeudi 5 décembre 2013

Montrez-moi une lesbienne féministe voilée

par Ann Robinson, professeure à la retraite
Je suis née en mille neuf cent quarante-quatre. Une année avant la fin de la guerre. Une année avant le début du baby-boom. J’ai vécu la course folle à la rencontre de la statue de la Vierge que les autorités de l’Église promenaient dans les rues de mon village et des villages environnants pendant l’Année Sainte mille neuf cent cinquante. J’ai grandi sous la protection du Petit Jésus de Prague que maman idolâtrait. Durant ces années d’enfance j’ai surtout vécu la peur panique du « troisième secret de Fatima ». « Pauvre Canada », disait le pape Pie XII. Voilà pire que la menace d’une guerre nucléaire !
Pensionnaire à l’adolescence dans un couvent catholique tenu par des religieuses qui ont contribué à parfaire mon éducation de future parfaite épouse d’un bon catholique et de mère aimante d’une nombreuse progéniture. J’ai survécu aux levers à l’aube pour assister à la messe quotidienne à jeun pour communier, j’ai survécu à la pudeur maladive des bonnes sœurs qui nous obligeaient à nous laver sous la robe de nuit, j’ai survécu à la promiscuité des dortoirs occupés par une centaine de jeunes filles. J’ai appris à me servir d’une dactylo en même temps que le piano et la diction. Et j’ai trouvé à la bibliothèque du pensionnat, côtoyant les vies de saints et de saintes, quelques livres profanes qui ont meublé mes loisirs et m’ont permis de réaliser qu’il existait une vie en dehors de l’Église catholique.
Adolescente, élève d’un collège classique pour jeunes filles, lorsqu’en philosophie j’ai voulu faire une recherche sur les écrits de Simone de Beauvoir, la directrice du collège a exigé que j’écrive à l’évêque de mon diocèse pour obtenir une permission spéciale afin de lever l’interdiction de lecture de ses livres. C’était en mille neuf cent soixante-quatre. Et pourtant une première femme, Marie-Claire Kirkland-Casgrain, avait déjà réussi à se faire élire à l’Assemblée nationale.
Au milieu des années soixante, j’étudiais à la faculté de droit de l’Université d’Ottawa. En droit criminel le professeur faisait toujours sortir systématiquement les rares filles de sa salle de cours lorsqu’il abordait les crimes à caractère sexuel. Nos chastes oreilles devaient, semble-t-il, éviter d’entendre les descriptions grivoises entourant les diverses formes d’agression sexuelle.
En mille neuf cent soixante-huit, je n’ai eu d’autre choix qu’un mariage religieux, le mariage civil n’existait pas dans notre droit québécois. À cette occasion, j’ai juré fidélité et obéissance à mon époux puisqu’à cette époque au Québec, le mari détenait toujours la puissance maritale et l’autorité paternelle. Il occupait la fonction de chef de la famille et l’épouse devait habiter là où il fixait la résidence familiale. Je me souviens que notre professeur en droit de la famille affirmait sans rire que les femmes s’en trouvaient très bien puisque le mari « était tenu de l’y recevoir ». En d’autres mots, il ne peut la jeter dehors sauf s’il entreprend des démarches de divorce. Quel réconfort !
C’est dans la foulée de l’évolution du droit criminel par l’adoption du fameux Bill Omnibus libéralisant entre autres l’avortement et les relations homosexuelles entre adultes consentants que des études ont été entreprises pour reconnaître des droits aux femmes canadiennes. C’était l’époque de la Commission royale d’enquête sur la situation de la femme au Canada à la fin des années soixante. Et moi, devenue juriste, je faisais carrière à l’Université Laval, j’aimais mon mari et je voulais des enfants. J’en ai eu, quatre, dont un seul, le dernier, avec congé de maternité défini dans notre première convention collective. Mais la société n’était pas encore prête à reconnaître à une mère le droit de faire carrière, mon mari s’est rangé du côté de l’opinion publique, mon mariage s’est effondré.
Inexorablement, les Québécoises ont continué à accumuler des droits et se sont libérées du joug de l’Église et des mâles dominants de leur entourage, père, frères, oncles, mari. Planification des naissances, droit à l’avortement, congé de maternité, acquisition de l’autorité parentale qui remplace l’autorité paternelle, disparition de toute forme de puissance maritale laissant place à une égalité totale entre les époux, instauration de la prestation compensatoire visant à rétablir l’équilibre financier des époux au moment de la dissolution du mariage, et au début des années mille neuf cent quatre-vingt-dix, adoption de la notion de patrimoine familial.
Mais la société tardait à suivre cette évolution juridique. Il a fallu du temps et de l’énergie pour lutter contre le machisme et le sexisme d’une société imprégnée si profondément des valeurs religieuses depuis la nuit des temps. Inlassables, les féministes ont travaillé ferme pour déconstruire le patriarcat, si catholique au fond. Et lorsque les églises se sont dépeuplées, les femmes ont commencé à prendre la place qui leur revenait. Elles travaillent toujours à bâtir une société basée sur l’égalité entre les sexes, une société juste, une société imprégnée de valeurs fondamentales de non-discrimination, une société laïque.
Certes, nous n’y sommes pas tout à fait. Des femmes sont encore battues, violées, discriminées dans leurs lieux de travail, plusieurs assument seules la responsabilité des enfants, vieillissantes elles sont souvent isolées, malmenées, abusées. Elles ne représentent toujours qu’une infime portion de la classe politique et de la classe économique. Elles sont encore moins riches que les hommes.
Les Québécoises sont parvenues à se libérer du joug de l’Église catholique. En général, les femmes ont les enfants qu’elles désirent au moment où elles le désirent, se marient ou vivent en couple avec qui elles veulent et, si elles le veulent, achètent en copropriété les biens de consommation importants, font carrière dans les domaines qu’elles choisissent.
Ainsi moi, je suis mariée à une femme que j’aime. Depuis quelques années, les couples de même sexe ont acquis les droits qui leurs reviennent tout naturellement. Le droit de vivre en couple au grand jour, le droit de se marier, le droit de devenir parents. Le droit à l’indifférence, le droit de vivre tout simplement.
Mais tout de même, je suis inquiète. Très inquiète. De plus en plus inquiète. Les débats actuels me questionnent au plus haut point. L’élection du parti conservateur au parlement canadien a ramené dans l’actualité la question de l’avortement. Les attaques viennent de toute part sur la question du statut du fœtus.
Le regain pour la spiritualité religieuse me fait peur. Le discours des intégristes, des fondamentalistes de toute religion m’inquiète. L’utilisation à outrance des principes du multiculturalisme mis de l’avant par le Canada pour prôner les droits individuels au détriment des droits collectifs me fait entrevoir des lendemains pénibles pour mon Québec francophone, si différent avec ses valeurs de liberté, d’autonomie et de souveraineté.
Devrai-je retourner dans la rue pour empêcher quiconque de nous enlever des droits ? D’en restreindre l’exercice ? J’appréhende ce que l’avenir réserve à mes petits-enfants. Pourront-ils vivre librement en profitant des luttes déjà menées et de celles actuelles ? Pourront-ils vivre pleinement dans une société laïque qui ne les contraint aucunement ? Ou au contraire devront-ils se battre pour réclamer des droits perdus ?
Parfois j’ai bien peur que mon Québec ne retourne dans la Grande Noirceur.
L’auteure
Ann Robinson est professeure de droit à la retraite, et membre associée, Chaire Claire-Bonenfant, Femmes, Savoirs et Sociétés
Mis en ligne sur Sisyphe, le 5 décembre 2013
http://sisyphe.org/spip.php?article4622

Doigt d'honneur..




mercredi 4 décembre 2013

Un peu de rebellions ? LOL

France. Grande Mosquée de Paris : Colère des femmes après leur déménagement au sous-sol


Parfum de fronde à la Grande Mosquée de Paris ces derniers jours. Il y a quelques semaines, la direction du lieu de culte a décidé de délocaliser la salle de prière des femmes dans une salle au sous-sol du bâtiment. Une décision qui n’est pas du gout des intéressées, qui l’ont fait savoir.

Musulmanes en colère

Un collectif de fidèles a écrit au recteur de la mosquée Dalil Boubakeur pour exprimer leur colère après cette décision « arbitraire » et pour réclamer leur retour dans leur salle de prière habituelle. Jusqu’à présent, les femmes priaient dans la grande salle, à l’arrière des hommes, dont elles étaient séparées par un rideau.
La réponse ne s’est pas fait attendre. L’administrateur général de la Grande Mosquée a motivé ce changement par la gêne occasionnée aux hommes par le « comportement bruyant de certaines femmes », a indiqué le collectif. Les protestataires ont expliqué qu’elles subissaient elles aussi cette nuisance, mais qu’elles refusaient cette « punition collective et disproportionnée ». La nouvelle salle de prière des femmes encore plus isolée des hommes s’est transformée en « un vrai salon de thé et une garderie », regrettent ces musulmanes.

Abolir la séparation hommes/femmes ?

Pour remédier au problème, elles ont fait une proposition pour le moins originale. Afin de préserver l’atmosphère de recueillement qui sied aux lieux de prière, ces fidèles suggèrent d’abandonner le rideau dans la grande salle de prière. En retirant cette séparation, qui stigmatise les femmes sans avoir de base religieuse selon elles, les autorités de la mosquée ramèneraient le calme. Les femmes « dissipées » seraient plus susceptibles de se concentrer sur l'activité de prières et de méditation.
Afin de joindre le geste à la parole, une dizaine de femmes ont assisté le 23 novembre à la prière du soir dans leur salle habituelle, suscitant des réactions hostiles d’une partie des hommes présents. Certains auraient même proféré des menaces contre ces rebelles si elles osaient répéter leur « affront ». Elles ont par ailleurs lancé une pétition en ligne pour appuyer leur revendication.
Les autorités de la GMP n’ont pour le moment pas réagi à cette action, ni répondu à la demande des femmes de retourner dans la salle de prière principale.

source : http://bit.ly/1jnuDsO

Les liens étroits entre esclavage et islam

Le 10 mai dernier était le jour de commémoration de l’abolition de l’esclavage. Celui-ci a été présenté comme un crime abominable commis par des blancs occidentaux contre des noirs africains.
Peu de commentateurs ont noté que ce qui caractérise les blancs occidentaux est, non pas qu’ils aient participé à l’esclavage, mais qu’ils aient jugé celui-ci in­admissible moralement, et qu’ils aient pris la décision de l’abolir et de le considérer comme un crime abominable.
Moins de commentateurs encore ont noté que des blancs ont été placés en esclavage et que le mot « esclave » (ce qui est plus explicite encore en an­glais), vient du mot « slave », et désignait le fait que des populations slaves d’Europe centrale avaient été soumises à l’esclavage par d’autres blancs.
Aucun commentateur, à ma connaissance, n’a rappelé que les Européens, qui partaient acheter des esclaves le long des côtes de l’Afrique pour se livrer au commerce triangulaire, achetaient des esclaves déjà placés en esclavage par des Africains noirs ou arabes. L’esclavage existait en Afrique subsaharienne avant le commerce triangulaire et y a existé longtemps après que le commerce triangulaire eut disparu.
Aucun commentateur à ma connaissance ne s’est risqué non plus à rappeler que l’empire musulman n’a cessé de prélever des esclaves en Afrique subsaharienne, de sa naissance jusqu’à son démantèlement après la première guerre mondiale, et personne n’a rappelé que, dans nombre de pays du monde musulman, l’esclavage existe encore de nos jours.
Ainsi, en Mauritanie, une part importante de la population est aujourd’hui encore en esclavage, soumise à des maîtres musulmans noirs ou arabes (ce qui n’empêche pas le pays d’être membre de l’Organisation Internationale de la Franco­phonie).
Aucun commentateur n’a évoqué, bien sûr, le traitement particulièrement cruel qui était souvent réservé aux esclaves noirs capturés en Afrique subsaharienne par les maîtres musulmans pendant des siècles. Les hommes capturés étaient, pour nombre d’entre eux, destinés à garder les harems et devaient pour cela être émasculés, procédure qui se faisait au sabre, sans anesthésie, et à laquelle peu des victimes survivaient.
Certains faits sont « politiquement incorrects » et ne correspondent pas à la version officielle qui veut qu’on ne doit plus critiquer la civilisation islamique en France.
Au nom de ce refus de critiquer la civilisation islamique en France, non seulement on ne rappelle pas les liens étroits entre esclavage et islam, mais on ne dit pas non plus que le nombre de victimes du commerce triangulaire est sans commune mesure avec celui des victimes de l’esclavagisme musulman – qui a été bien plus ample, et a duré bien plus longtemps.
Au nom du même refus de critiquer la civilisation islamique, les féministes européennes, si ardentes pour lutter contre toute publicité montrant une femme en maillot de bain, ne voient soudain que fort peu à redire contre la multiplication des voiles dans l’ensemble des pays d’Europe et contre la discrimination subie ainsi par tant de femmes en Europe.
Les débats sur le voile parlent, d’ailleurs, en général, de « si­gnes religieux », alors qu’ils de­vraient parler de discrimination sexuelle.
Que des femmes musulmanes soient partisanes de la discrimination qu’elles subissent ou qu’elles s’infligent à elles-mêmes ne change rien au fait qu’il s’agit de discrimination.
La sourate du Coran qui concerne les femmes est d’ailleurs très explicite, puisqu’elle entérine la polygamie, l’esclavage et le statut d’éternelles inférieures des femmes.
Je vois les féministes européennes s’élever fort peu aussi sur le sort des femmes dans l’ensemble du monde musulman, où la lapidation continue à être appliquée et où l’excision est une pratique qui gagne à nouveau du terrain de manière considérable.
Plutôt qu’une journée de commémoration de l’esclavage, il serait judicieux de songer à une journée de refus mondial de l’esclavage et de la discrimination envers les femmes.
Il est vrai que cela risquerait de prendre une tournure islamophobe, comme disent les adeptes du « politiquement correct »…

mardi 3 décembre 2013

Fatwa : la femme qui se baigne dans la mer commet l'adultère et doit être punie

Ce n’est pas croyable la folie qui s’empare de l’homme avec des idées aussi tordues.
Plus fou que ça, tu meurs.

La misogynie, littéralement "haine des femmes", est un trait de caractère qui se manifeste par un sentiment de mépris, éventuellement d'hostilité, à l'égard des femmes.(Wikipédia)

Lorraine

 
Haram! Interdit!
Des fatwas sexistes sont également promues au Québec. Lire à titre d'exemle, la capture d'écran de fatwas publiées sur le site internet de la mosquée Assuna de Montréal (site récemment supprimé).
Femme-voilee-a-la-mer
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«Quand une femme se baigne dans la mer (un mot masculin en arabe), l'eau (masculine) touche ses parties intimes, ce qui fait d’elle une adultère, et elle doit être punie ». – Résumé du rapport intitulé «Les fatwas erronées des Frères musulmans et des salafistes » publié dans le Al Masry Al Youm.
Un rapport d'un comité mis en place par Al Azhar, une des plus anciennes et prestigieuses universités islamiques du Caire, afin d’étudier les fatwas émises par les Frères musulmans et les salafistes révèle comment les islamistes considèrent les femmes. Les conclusions du rapport ont été publiées dans le journal égyptien Al Masry Al Youm. Le comité a étudié 51 fatwas émises par les Frères musulmans et les salafistes durant la présidence de Mohamed Morsi.
Selon le rapport, «les fatwas émises par les deux groupes (Frères musulmans et salafistes) voient les femmes comme des créatures étranges créées uniquement pour le sexe. Ils considèrent la voix des femmes, leurs regards et leur présence à l’extérieur des murs de la maison comme une 'offense'. Certains sont allés jusqu’à considérer la femme au complet comme offensante». 
Une autre fatwa interdit aux femmes de «manger certains légumes ou même de toucher des concombres ou des bananes» car leur forme phallique pourrait les entraîner sur la mauvaise voie.  Une fatwa ordonne aux femmes de « fermer les climatiseurs à la maison quand leurs maris sont absents pour éviter de signaler aux voisins qu’elles sont seules à la maison, ce qui pourrait les conduire à commettre l’adultère avec elles. ».
Une fatwa décrète que les filles doivent être mariées dès l’âge de 10 ans «pour les empêcher de s’écarter du droit chemin». Une autre interdit aux filles de fréquenter une école située à plus de 25 km de leur domicile. Et une étrange fatwa stipule que le mariage d’un couple sera annulé s’ils se dénudent pendant les rapports sexuels.
Fait intéressant, une fatwa qui a fait les manchettes partout dans le monde a été publiée par l'université Al Azhar et appelle les femmes à «allaiter les hommes de leur entourage pour en faire des membres de leur famille, ce qui permet la mixité». La fatwa a toutefois été rétractée.
Dans le même temps, des fatwas ont également autorisé l’utilisation des femmes comme boucliers humains pendant les manifestations violentes.
Dans un précédent rapport, le Gatestone Institue indiquait que pendant la présidence de Morsi, les Frères musulmans et les salafistes ont émis des fatwas appelant à la destruction des pyramides et du sphinx ; à l’annulation des accords de Camp David ;  à l’exécution de toute personne manifestant contre le président déchu Morsi ; interdisant aux musulmans de saluer les chrétiens ; interdisant aux chauffeurs de taxi musulmans de transporter des prêtres chrétiens ; interdisant les émissions de télévision se moquant des islamistes ; et interdisant aux femmes d’épouser tout homme impliqué dans le gouvernement de Moubarak.
Source : Fatwa: Women who swim in the sea commit adultery, should be punished, India Today, 29 novembre 2013. Traduction par Poste de veille

lundi 2 décembre 2013

Lettre à Maria Mourani: la laïcité inclusive ou l'aveuglement volontaire

Madame Mourani, vous avez non seulement signé, mais vous faites la promotion du groupe des indépendantistes en faveur d'une laïcité qui s'autoproclame inclusive. Inclusive parce qu'elle serait ouverte au port de signes religieux en général et en particulier au foulard islamique. J'avais une grande admiration pour votre combat contre la traite et la prostitution des femmes. Parce qu'ainsi vous combattez une conception du droit individuel de certaines femmes de se prostituer, ce qui se traduit par une grave menace aux droits collectifs des femmes de ne pas être considérées comme des marchandises.

Le voile et la prostitution : même combat
C'est pourquoi je ne peux comprendre qu'une femme articulée comme vous ne peut saisir qu'il s'agit du même débat pour ce qui est du voile. Il semble que, sur ce dossier, vous optiez pour une exigence religieuse sexiste et le droit individuel de le porter et de diffuser un message d'infériorité des femmes, à savoir que les femmes sont responsables de cacher leurs cheveux pour ne pas provoquer le désir de l'homme. Vous adoptez cette fois-ci la position en faveur des droits individuels et contre les droits collectifs des femmes.
Je vous rappelle qu'autrefois, les femmes ont lutté pour que les victimes de viol ne soient pas déclarées coupables, responsables du viol : c'est la femme qui n'était pas au bon endroit, ni à la bonne heure, ni habillée correctement, ou qui n'était plus vierge, etc. C'est exactement le même message qui est envoyé avec le voile. Les hommes ne sont pas responsables de leurs désirs ; ce sont uniquement les femmes qui doivent voir à ne pas les provoquer en ne cachant pas leurs cheveux. Votre décision de vous joindre à ce groupe participe au recul qu'on est en train d'imposer à l'histoire de l'émancipation des femmes.
Accepter le voile n'ouvre pas les portes du monde du travail
Vous invoquez le droit au travail et affirmez qu'il nous faudrait permettre le voile pour que ces femmes puissent travailler, acquérir leur autonomie financière et s'intégrer. Je crois que vous auriez avantage à consulter le Plan d'action 2012-2015 issu des États généraux sur la situation des femmes immigrées et racisées. Vous constateriez que ce magnifique travail qui vise une véritable intégration des femmes immigrantes et racisées ne mentionne aucunement qu'il faille respecter des exigences religieuses pour les intégrer par l'emploi.
Par contre, je vous ferais remarquer que vous, vous n'avez aucune étude ni preuve scientifique qui confirme que l'obtention d'un travail sera facilitée par le port de signes religieux. Tout au contraire, vous favoriserez le profilage ethnico-religieux informel. En effet, c'est déjà un fait que, pour éviter de se retrouver avec du personnel portant des signes religieux, on évite d'engager des personnes d'origine maghrébine qui pourraient enlever le voile le temps de l'entrevue et qui le remettraient après. Beaucoup de femmes n'ont pas trouvé de travail à cause de cette surenchère d'accommodements qui fait peur à plusieurs employeurs. Oui le chômage est malheureusement élevé au sein de la communauté maghrébine, mais le foulard islamique est-il la solution ? Non ! Tout au contraire.
Je croyais vous connaître comme une femme réfléchie et déterminée à faire triompher les droits collectifs des femmes. Auparavant, je ne vous ai jamais vue complice des forces réactionnaires qui essaient de contrôler la sexualité des femmes et des petites filles.
Je suis pleinement consciente qu'en tant que députée d'un comté largement multiethnique et multiconfessionnel, vos calculs électoraux ont déjà été faits: votre position sur le voile sera beaucoup plus rentable pour votre réélection.

La Burqa vient du Culte d'Astarté dans la Mésopotamie antique.



Ataturk, un grand homme

Pour honorer la déesse de l'Amour Physique, toutes les femmes sans exception devaient se prostituer une fois l'an dans les bois sacrés qui entouraient les temples de la déesse.

Pour ne pas être reconnues, les femmes de la haute société prirent l'habitude de se voiler totalement.
Mais voilà que :

Mustapha Kemal, alias Ataturk, 1er président de la Turquie, de 1923 à 1938, avait trouvé la bonne astuce pour clouer le bec aux intégristes de l'époque.
Il avait mis un terme au port de la burqa, en faisant une loi toute simple : Avec effet immédiat, toutes les femmes turques ont le droit de se vêtir comme elles le désirent. Toutefois toutes les prostituées doivent porter la burqa. Dès le lendemain, on ne voyait plus de burqa en Turquie.
Et c'est toujours en vigueur.
Rose

Un petit plus :
http://les-derniers-belgoristes.blogspot.ca/2013/12/ataturk-un-grand-homme.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+blogspot/TUdme+%28LES+DERNIERS+BELGORISTES%29

dimanche 1 décembre 2013

Les suicides de soldats de retour d'Afghanistan soulèvent des questions

Publié le 28 novembre 2013 à 22h31 | Mis à jour le 29 novembre 2013 à 00h01
Près du tiers des soldats canadiens ayant pris part au conflit afghan ont demandé de l'aide psychologique à leur retour de mission, selon une étude.
PHOTO ARCHIVES REUTERS

MURRAY BREWSTER
La Presse Canadienne
Au-delà des messages de condoléances, le gouvernement Harper et les Forces canadiennes semblaient incapables, jeudi, d'expliquer les suicides survenus au cours des dernières semaines parmi des vétérans de la guerre en Afghanistan.

Le cas le plus récent, survenu il y a quelques jours, concerne un sous-officier de la base de Petawawa, au nord-ouest d'Ottawa. La police militaire a ouvert une enquête et n'a révélé aucun détail. Le nom du soldat n'est pas connu.

Une enquête du ministère de la Défense est également en cours au sujet de deux autres décès de militaires dans l'ouest du pays, a indiqué le ministre de la Défense, Rob Nicholson, devant la Chambre des communes jeudi.

«Nos pensées et nos prières vont aux familles, aux amis et aux collègues de ces personnes disparues, et je souhaite à tous les proches de ces personnes la paix en ce temps difficile», a déclaré M. Nicholson d'un air grave.

Plus tôt dans la journée, le ministre avait qualifié ces décès de «très troublants», tout en soulignant que depuis 2011, le gouvernement conservateur a consacré des millions de dollars supplémentaires pour le traitement et le soutien psychologique des soldats de retour d'Afghanistan.

Le commandant des Forces canadiennes s'est lui aussi dit perturbé par les récents décès de militaires.

«Je suis ébranlé par la perte de trois de nos soldats», a dit le lieutenant-général Marquis Hainse.

«Les Forces canadiennes se soucient profondément de chaque soldat. Cela va sans dire que nous prenons chaque décès au sérieux et, en ce sens, nous étudierons toutes les facettes de ces situations afin d'en tirer des leçons et réduire le risque d'autres événements similaires, tout en fournissant le meilleur appui aux familles de militaires quand un décès survient.»

Les données rendues publiques l'été dernier par le ministère de la Défense nationale indiquent que 22 soldats à temps plein se sont enlevé la vie en 2011. Les données pour 2012 n'ont pas été rendues publiques.

Certains ont mis en doute ces chiffres parce qu'ils ne portent que sur les membres réguliers des Forces canadiennes et excluent les réservistes, dont le statut à temps partiel signifie qu'ils sont sous la juridiction d'entités civiles dans leur province de résidence.

La Gendarmerie royale du Canada enquête sur la mort, mardi, d'un soldat dans une résidence située près de la base des Forces canadiennes à Shilo, au Manitoba.

Les autorités n'ont pas publié son nom, mais des amis l'ont identifié comme étant le caporal-chef William Elliott.

En Alberta, les autorités enquêtent sur la mort, lundi à l'hôpital, d'un réserviste qui a été retrouvé en situation de détresse dans un centre correctionnel de Lethbridge. L'homme, identifié par ses amis comme étant Travis Halmrast, était détenu en lien avec des allégations de violence conjugale.

L'armée mènera une enquête pour chaque décès, une procédure de routine qui examine les circonstances et les questions institutionnelles qui pourraient avoir mené à un incident particulier.

Mais cela ne suffit pas pour le porte-parole du Nouveau Parti démocratique en matière de défense, Jack Harris, qui accuse le gouvernement d'abandonner ses soldats revenus d'Afghanistan. Quelque 50 enquêtes militaires sur des suicides commis depuis 2008 restent incomplètes, souligne-t-il.

«Nous avons des soldats qui ont défendu le Canada lorsque nous leur avons demandé de le faire. Nous devrions les défendre à notre tour et je ne pense pas que nous le fassions», a déclaré M. Harris.

Les commissions d'enquête sur les suicides se déroulent souvent derrière des portes closes et les proches n'ont pas automatiquement accès aux conclusions de l'enquête, souligne un expert en droit militaire.


Au Royaume-Uni, tout décès de soldat, que ce soit au pays ou à l'étranger, fait l'objet d'une enquête du coroner, indique le colonel à la retraite Michel Drapeau.

Il s'agit d'un meilleur système qui permet aux proches en deuil de connaître toutes les preuves recueillies et de participer à l'enquête, souligne M. Drapeau.

«La question n'est pas de blâmer l'armée», affirme-t-il. «La question est de nous assurer que nous tirons les leçons de chacune de ces tragédies et que nous prévenions la prochaine.»

http://www.lapresse.ca/actualites/national/201311/28/01-4715788-les-suicides-de-soldats-de-retour-dafghanistan-soulevent-des-questions.php