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lundi 17 février 2014

Nouvelle menace sur la France : les arracheurs d’arbres de la laïcité !

arbre-de-la-laicite
Le 16 février 2014
De dangereux chouans attardés feraient trembler, par des attentats d'une extrême violence, l'un des piliers de la République en danger.
Après Dieudonné, Libération nous indique une nouvelle menace qui plane sur la France : les arracheurs d’arbres de la laïcité. De dangereux chouans attardés qui feraient trembler, par des attentats d’une extrême violence, l’un des piliers de la République en danger. Sauf que… ces arbres n’ont rien à voir avec la laïcité, et tout à voir avec son contraire : une religion d’État où la République n’est plus un régime politique avec des principes politiques, mais un objet de culte religieux.
Cette vision est exprimée par Vincent Peillon dans son livre de 2008, La Révolution française n’est pas terminée :
La révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu, c’est la présence et l’incarnation d’un sens, d’une régénération et d’une expiation du peuple français.
1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau.
La révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. (…) Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi.
Cette vision hallucinée est celle portée par les « amicales laïques » et le Grand Orient, dont Libé mentionne, comme en passant, qu’ils sont à l’initiative de ces « arbres de la laïcité ». Or, la prétention de l’État à régenter l’esprit des hommes, alors qu’il encadre déjà leurs actions matérielles, est proprement totalitaire et a toujours abouti à l’oppression des consciences, que ce soit pendant la Terreur révolutionnaire ou, en moins violent, au début du siècle dernier, quand les gouvernements successifs ont piétiné ces mêmes droits de l’homme dont ils prétendaient faire leur nouveau catéchisme. Droit de propriété (avec les Inventaires), liberté de conscience (avec l’affaire des Fiches), liberté d’enseignement un peu partout : rien ne devait empêcher de pourchasser la seule institution qui résiste encore et toujours, de par le monde, à l’invasion du pouvoir politique dans les consciences des hommes – à commencer par celle des enfants.
Ainsi, l’arbre de la laïcité est une usurpation absolue du terme par ceux qui, comme notre ministre, considèrent qu’il faut « inventer une religion républicaine. Cette religion républicaine, qui doit accompagner la révolution matérielle, mais qui est la révolution spirituelle, c’est la laïcité. » L’on touche ici au comble du non-sens, et souhaitons seulement à M. Peillon de ne pas connaître le même sort que Robespierre peu après qu’il eut présidé la Fête du culte de l’Être suprême.
Est laïc ce qui n’est pas religieux ; donc la laïcité suppose le religieux, mais pas n’importe lequel : une religion qui ne confonde pas le spirituel et le temporel, mais « rende à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ». La laïcité est donc une notion proprement chrétienne, que cela plaise ou non ; et si la France perd sa culture chrétienne, elle perdra sa laïcité avec : soit l’État envahira le champ des consciences – c’est le projet de « religion républicaine » maquillé en laïcité ; soit la religion engloutira l’État – c’est le projet de « république islamique », où la laïcité n’existe pas non plus puisque le souverain-calife y est à la fois prince et « commandeur des croyants » Sic transit gloria mundi laici…

dimanche 16 février 2014

L’islam est incompatible avec l’intégration, MM. Hollande-Ayrault

 

Islam-et-democratieLe pouvoir écolo-socialiste qui est en grandes difficultés, a trouvé une parade pour les faire oublier en ouvrant le dossier de l’intégration des immigrés en France, au moment où l’islam, cette religion de la haine qui est rejetée par plus de 80% des Français, tente d’imposer sa doctrine totalitaire et ses codes sociétaux à l’ensemble de la population.
Cet agenda n’est qu’une manœuvre de diversion de plus initiée par l’oligarchie écolo-socialiste régnante, pour cacher son échec économique et social. Car vouloir imposer par la ruse une nouvelle civilisation aux Français est une couleuvre difficile à avaler. Après le mariage pour tous, elle tente d’introduire un nouveau sujet de discorde au sein de la société.
Ce pouvoir impuissant à faire face aux nombreux défis auxquels la France est confrontée (chômage, désindustrialisation, insécurité, technologies du futur, déficit colossal…) dégoupille une grenade pour diviser la société française qui est déjà fragilisée. Il tente vaille que vaille de mettre à nouveau sur la table le sujet brûlant de l’intégration des immigrés comme si les Français étaient responsables de l’échec de l’assimilation. La technique est simple : faire monter les uns contre les autres pour camoufler ses errements.
Diviser pour régner, tel semble être le slogan du pouvoir en place. Est-ce la faute des Français si une partie des immigrés refusent de s’adapter aux valeurs de la république et notamment ceux dont les neurones sont irriguées par la culture arabo-islamique ?
Car la citoyenneté est avant tout une éducation civique bien ancrée qui tient compte des fondements de toute société. Vouloir culpabiliser les Français de souche est un chemin dangereux et les premières victimes seront les immigrés eux-mêmes. Leur rejet serait immédiat. Sur quelle base et au nom de quoi, veut-on mettre en doute la sincérité de l’hôte si celui qui est invité, refuse de se conformer aux coutumes et us de la maison qui l’accueille?
Car l’intégration est avant tout une démarche individuelle d’une personne qui désire se rapprocher d’un groupe social plus vaste afin de s’y fondre dans le temps. Une nation n’est pas un libre-service où l’on se sert à sa convenance et encore moins une auberge espagnole.
Tout peuple possède son histoire, sa mémoire, ses coutumes et ses règles. Ce n’est pas au dernier arrivé de lui imposer son choix sociétal.
S’assimiler, c’est accepter les valeurs de la majorité, sinon chacun va créer dans sa vie de tous les jours, les normes qui l’arrangent et rejettent ceux qui le dérangent.
Et dans ce cas, c’est le communautarisme qui s’installera en France tôt ou tard. Et ça sera alors la régression féconde accompagnée d’une marmelade islamique piquante qui sera servie comme désert.
Depuis des siècles, la politique de la France a été favorable à l’assimilation et tenter aujourd’hui de la remettre en cause, c’est marcher vers l’inconnu, vers le désordre.
L’école qui fut le lieu du savoir et de l’intégration, est devenue l’endroit où s’exercent les antagonismes de la société française. L’islam s’y est introduit en créant la discorde et en tentant d’y imposer sa vision totalitaire. Déjà, il a réussi à faire admettre le halal dans les cantines scolaires et dans les prisons en bafouant la laïcité qu’il utilise quand cela arrange son idéologie sectaire.
Lorsque la politique s’efface devant les difficultés et que la manipulation, la désinformation et l’injure prennent le relai dans le seul but de garder le pouvoir, il y a danger dans la maison France. Alors le moment de rupture entre l’élite politique d’en haut et le peuple d’en bas, est imminent. La révolte sera pour bientôt. Déjà que la société française est fragilisée, il ne faut pas s’attendre à des miracles sur ce dossier de l’intégration. Il serait massivement rejeté par les Français si le pouvoir le soumettait à un référendum.
Durant des années, l’intégration fut oubliée et les hommes politiques de tout bord, ont délégué leur pouvoir dans les quartiers perdus par la république à des imams qui se sont sentis investis d’une mission divine au service d’Allah, alors l’islam a vite remplacé le vide laissé par l’état. Aujourd’hui, il est presque trop tard pour agir, car l’assimilation signifie pour un grand nombre de musulmans la perte de leur identité. Durant des années, l’angélisme béat a favorisé le rejet de la culture française des nouveaux arrivants. A ces derniers, on leur a dit que c’est à la république de faire des efforts pour les intégrer et non l’inverse.
Y-a-t-il encore un espoir pour redresser la situation ? Oui, s’il y a un courage politique. Rien n’est figé, et ce qui paraît insurmontable aujourd’hui, pourra se réaliser demain. Alors que ceux qui gèrent la cité, prennent le taureau par les cornes et disent ouvertement aux immigrés que la France est un pays assimilationniste et que pour s’y installer, il faudra respecter une charte de l’intégration qui devra être établie rapidement.
Le laisser-aller actuel arrange uniquement l’islam qui profite du laxisme pour étendre son emprise sur les quartiers défavorisés dans le but de créer des enclaves islamisées afin d’y préparer le djihad. Et ce n’est pas par calcul électoraliste, que le pouvoir fera face à cette menace dans ces endroits de non-droit où l’islamisme et la drogue font bon ménage. Il faut surtout anticiper sur les événements pour ne pas les subir brutalement.
Pour réussir une bonne intégration, il faut valoriser ceux qui se sont assimilés et non le contraire comme on le constate actuellement qui fait la part belle à ceux qui rejettent toutes les valeurs de la France des Lumières.
Qu’on arrête définitivement cette politique de laxisme et d’angélisme qui méprise ceux qui ont adhéré au projet républicain et qui a choyé remarquablement ceux qui tentent de le remettre en cause, si l’on veut réconcilier la France avec elle-même.
Mais pour le moment, dans ce beau pays, ceux qui gèrent la cité marchent sur la tête en se mettant au service de l’islam pour un hypothétique gain électoral en bafouillant les principes qu’ils croient défendre. Ils scandent vive la nouvelle civilisation tout en faisant la danse du ventre pour plaire aux mahométans qui croient que l’islam est la solution comme jadis, les marxistes, les staliniens et les trotskystes disaient que le communisme était l’avenir de l’humanité.
Et pourtant la France était et reste la fille aînée de l’Eglise quoiqu’en pensent les adeptes de la théorie du genre !
Hamdane Ammar
vu ici

La laïcité est devenue l’otage de l’islam

leilaadjaoud

En décembre 2013, l’Observatoire de la laïcité a eu le mérite de rappeler les principes sans lesquels la laïcité ne serait qu’un vain mot.
Mais ce rappel mérite à son tour d’être rappelé à lui-même, car si la France est une République « indivisible, laïque, démocratique et sociale », elle est en passe de se diviser sous les coups de boutoir d’une religion qui, à supposer qu’elle soit « sociale », n’est en aucun cas « laïque » et « démocratique », ne serait-ce que par son refus du « pluralisme religieux » (1) .
A contrario, la République française permet le « pluralisme religieux », et, de ce fait, assure non seulement « la liberté de conscience » mais aussi « le libre exercice des cultes ». Simplement, au titre de la laïcité, elle « ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte ». En tout cas,  c’est ce que l’on voudrait, car les aides financières apportées à la construction des mosquées par tel ou tel élu de la République sont aujourd’hui monnaie courante !
Il est donc nécessaire que la laïcité réaffirme clairement ce qu’elle est, à savoir « la séparation des Églises et de l’État », ce qui implique que « les religions ne s’immiscent pas dans le fonctionnement des pouvoirs publics », ou encore qu’aucune religion ne puisse « imposer ses prescriptions à la République ».
Mais alors, pourquoi le halal ? L’égorgement des animaux non étourdis, tout comme la multiplication des produits halal, seraient-ils conformes aux valeurs de la République ? Pourquoi le voile pour telle ou telle secrétaire médicale (2) ? Pourquoi des parents voilés dans les établissements scolaires ? Comment le rapport du 13 décembre dernier (mandaté par le Premier ministre et aussitôt rejeté par le gouvernement) , a-t-il pu proposer, entre autres, que le voile retrouve le chemin des collèges et des lycées ? Pourquoi la burqa continue-t-elle de prospérer impunément dans l’espace public ?
Si la laïcité insiste sur les limites imposées par les « impératifs de l’ordre public », que n’intervient-elle contre les prières de rue, qui font obstruction à la libre circulation des biens et des personnes ?
Si le « maintien de la paix civile » est une des préoccupations majeures de la laïcité, comment comprendre l’acceptation des fameux « accommodements raisonnables », qui irritent la majorité des Français ?
Si « aucun principe religieux ne peut conduire à ne pas respecter la loi », qu’est-ce qui a pu pousser l’Observatoire de la laïcité à établir un « guide de la laïcité rappelant les réponses, encadrées par le droit, aux cas concrets relevant du principe de laïcité dans les collectivités territoriales » ?
En fait, la laïcité est devenue l’otage de l’islam, car contrairement à l’islam – qui ne saurait douter un seul instant de ses fondements – la laïcité vacille sur elle-même, et la France avec elle !
Maurice Vidal
(1) En terre d’Islam, on peut être inquiété pour ses opinions, notamment religieuses, dès lors qu’elles ne sont pas conformes à l’islam, même si leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.
(2) C’est le cas notamment en Seine-Saint-Denis.
vu ici

mardi 11 février 2014

Exclusif : 84% des salariés sont pour la neutralité religieuse dans les entreprises


C'est une quasi-unanimité : 84% des salariés interrogés par l'institut Sociovision pour son enquête annuelle sur la société française préfèrent que les religions restent en dehors de l'entreprise. L'ampleur du consensus a de quoi surprendre : peu importe leur âge, leur sexe, leur statut, tous pensent à une forte majorité que « l'entreprise doit rester un endroit neutre et ne pas prendre en considération les revendications d'ordre religieux ». Les trois quarts des pratiquants d'une religion sont d'accord ! Mais cette préférence laïque s'inscrit sur un fond de crispation et de moindre tolérance envers les étrangers. Fait-religieux publie en exclusivité les principaux résultats, commentés ici par Catherine Caron, directrice d'études chez Sociovision

La question de la religion au sein de la sphère professionnelle est une problématique qui prend de l'ampleur. Dans une France devenue plurielle en termes d'origines ethniques et culturelles, les dirigeants d'entreprise et les DRH se voient de plus en plus souvent confrontés à des salariés qui revendiquent un droit d'expression religieuse au sein de l'entreprise : possibilité de prendre un temps pour la prière au cours de la journée, jours de congés accordés pour les fêtes religieuses, autorisation du port de signes religieux sur le lieu de travail, etc.

Si les managers s'interrogent légitimement sur l'attitude à adopter face à ces nouvelles demandes, l'opinion des salariés sur la prise en considération de la religion dans l'entreprise ne laisse pas de place à l'ambiguïté : la très grande majorité d'entre eux se prononcent en effet pour le  respect d'un principe de laïcité : 60% partagent « tout à fait » l'idée que « l'entreprise doit rester un endroit neutre et ne pas prendre en considération les revendications d'ordre religieux » et 24% y souscrivent « plutôt », soit un total de 84%.

69% de musulmans favorables à la neutralité

Un score conséquent qui ne révèle pas de différences significatives liées au sexe, à l'âge ou au statut. La pratique religieuse est, en revanche, un critère plus clivant. Le taux d'adhésion à la neutralité de l'entreprise est moindre chez les salariés pratiquant une religion (74%) que chez les non-pratiquants ou athées (84%) ; de même, le type de religion a une incidence : les salariés se réclamant de l'islam, qu'ils soient pratiquants ou non-pratiquants, sont moins enclins à se déclarer pour la laïcité dans l'univers du travail (69%), que les catholiques (87%), par exemple. Des écarts relativement mineurs néanmoins, qui ne remettent pas en cause le large consensus autour du principe de neutralité religieuse de l'entreprise. Celui-ci reste nettement majoritaire dans toutes les catégories.

Lorsqu'il s'agit des implications concrètes dans le fonctionnement interne de l'entreprise, les salariés s'expriment très majoritairement, et de plus en plus, dans le même sens : 23% seulement trouvent aujourd'hui « normal que l'on aménage le lieu, les horaires de travail ou la restauration collective pour tenir compte des pratiques religieuses » ; ils étaient 30% en 2010.

Crispations vis-à-vis des étrangers

Une moindre acceptation des entorses faites à la laïcité qui intervient dans un contexte de crispation vis-à-vis des étrangers. Alors que la situation économique se dégrade et que la cohésion nationale apparaît fragilisée, l'ouverture à l'autre tend à s'effriter, notamment quand « l'autre » est d'origine étrangère (et a fortiori lorsqu'il est de culture et de religion différentes). Aujourd'hui, à peine 52% des Français pensent que « la présence d'étrangers appartenant à d'autres cultures est une chance pour la diversité et l'avenir de la France », soit 7points de moins par rapport à 2010, et près de deux sur trois (63%) estiment qu'« il y a trop d'étrangers en France », contre un peu plus d'un sur deux il y a quatre ans (55%).

L'expression moins décomplexée des croyances religieuses et la montée des revendications dans ce domaine, en particulier quand il s'agit de l'islam, avive le sentiment que les valeurs républicaines sont menacées et contribue à revigorer l'attachement à la laïcité comme liberté fondamentale collective. La religion est, de fait, réaffirmée comme relevant du domaine strictement privé.

Un réflexe de défense face aux intérêts particuliers, qui montre aussi que les salariés sont particulièrement soucieux que l'entreprise, qu'elle soit privée ou publique, demeure un creuset d'intégration républicaine, dans la fidélité à l'un de ses principes fondamentaux. Néanmoins une conception un peu différente de la laïcité semble se dessiner chez les salairés se réclament de l'islam. On, l'a vu 69% d'entre eux se disent favorables à la neutralité religieuse de l'entreprise, mais ils sont 63% à trouver « normal que l'on aménage le lieu, les horaires de travail ou la restauration collective pour tenir compte des pratiques religieuses ». Dans 95% des cas, les demandes à caractère religieux concernent l'islam, selon l'étude Institut Randstad/Observatoire du Fait Religieux en Entreprise de mai 2013.

Source : L'Observatoire de Sociovision. Enquête annuelle réalisée chaque année en juin-juillet auprès d'environ 2000 personnes de 15 à 74 ans, représentatives de la population française, quota Insee. 
Echantillon salariés : 1031 dans la vague 2010, et 1062 dans la vague 2013.

http://www.fait-religieux.com/france/laicite-1/2014/02/11/exclusif-84-des-salaries-sont-pour-la-neutralite-religieuse-en-entreprise

Laïcité et liberté religieuse : peuvent-elles s’accorder ? – Le point de vue d’une américaine


Deux femmes portant le voile passent dans la rue. Mes amis américains et moi échangeons des regards de confusion. C’est ainsi qu’a commencé un débat politique sur la terrasse d’un café, dès notre première journée en France.


Une femme voilée de 18 ans, qui s’était rebellée pour éviter un contrôle d’identité début août à Roubaix (Nord), a été condamnée mardi 30 octobre à six mois de prison avec sursis et à 100 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Lille.

Ce n’est pas le port du voile qui nous rend perplexe, c’est la conception française de la séparation de l’Église et de l’État. Une conception française difficile à comprendre pour les Américains.
Lorsque la loi de 2011, qui interdit le port du voile et de tous les autres symboles religieux voyants, a été adoptée, le Département d’État du Président Obama a réagi par la négative, déclarant qu’une telle interdiction est une «répression systématique de la liberté de religion».

La liberté de religion

La liberté de religion, la liberté individuelle et la liberté d’expression sont des valeurs typiquement américaines. Elles sont garanties par le premier amendement de la Constitution ainsi que par la loi de séparation de l’Église et l’État. Cela signifie qu’aucune religion ne peut interférer avec le gouvernement et que, de même, le gouvernement ne peut pas interférer avec l’expression individuelle de la religion, qu’il s’agisse d’une personne ordinaire ou d’une figure gouvernementale.
La France connaît elle aussi cette notion de liberté religieuse. Dans la loi de 1905 qui sépare l’Église et l’État, il est indiqué dans l’article 1 que « la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes ». Pourquoi l’application de la liberté religieuse diffère-t-elle alors entre les deux pays ?
En 2010, lorsque le Pape a reçu le président Nicolas Sarkozy, le public français a eu une réaction négative : il a perçu la visite de leur président comme une menace contre la laïcité. Alors qu’au contraire, les candidats présidentiels américains parlent souvent publiquement de leur religion, utilisant leur foi comme un signe de « bon caractère ». De plus, «God bless you» (« Dieu vous bénisse ») est l’expression la plus couramment utilisée pour clore un discours présidentiel.

Il ne fait aucun doute que les deux pays sont laïques et démocratiques, cependant, il est évident que la religion n’est pas traitée de la même façon dans les deux États. Peut-être que c’est l’histoire propre à chaque nation qui a conduit à deux points de vue différents concernant la religion ?

Un concept au coeur de la démocratie américaine

Pour un américain, le concept de la liberté religieuse est au cœur de sa démocratie. La nation américaine a été fondée sur un idéal : être un refuge pour tous ceux qui fuient la persécution religieuse. Pour cette raison, les Américains ne comprennent pas pourquoi la France est si désireuse d’effacer toute religion de la sphère publique. Mais les États-Unis n’ont jamais connu leur gouvernement contrôlé par une institution religieuse.

La laïcité française est née de la peur

Le pouvoir autoritaire de l’Église dans le passé français – en particulier concernant son soutien aux contre-révolutionnaires – a conduit les Français à l’anticléricalisme. Le rapport passé difficile avec l’Église a rendu les français paranoïaques, tant et si bien que les relations avec la religion, au sens général du terme, sont aujourd’hui considérées comme un tabou. C’est le résultat de tous les efforts menés par les différents gouvernements français pour maintenir la religion (et par extension toutes les religions) hors de la sphère publique. La position stricte de la France sur la laïcité conduit les Américains à croire que la laïcité américaine est née de la liberté tandis que la laïcité française est née de la peur.

Peut-être qu’en France, suite à la longue histoire tumultueuse avec la religion et la diversité religieuse croissante, il est plus facile d’éviter complètement le sujet de la religion. Cependant, quand la religion n’est pas seulement une croyance, mais aussi un aspect culturel et social, peut-on vraiment l’effacer de la sphère publique ?

Michelle H. Nguyen

http://journal-regards.com/2012/10/30/laicite-et-liberte-religieuse-peuvent-elles-saccorder-le-point-de-vue-dune-americaine/

lundi 10 février 2014


Le groupe privé installé en Seine-Saint-Denis, régulièrement salué comme un modèle en terme de diversité et de promotion sociale, notamment d'employés d'origine étrangère, va officialiser mardi l'entrée en vigueur d'un texte de huit articles dans son règlement intérieur sur la laïcité. | DR

C'est une première en France : l'entreprise de recyclage Paprec a adopté, avec le soutien de ses 4 000 employés, une « charte de la laïcité » qui interdit le port de signes religieux dans leurs locaux.

Le groupe privé, installé en Seine-Saint-Denis et régulièrement salué comme un modèle en terme de diversité et de promotion sociale, doit officialiser mardi l'entrée en vigueur d'un texte de huit articles dans son règlement intérieur, rapporte l'AFP.
Lire nos explications : Entreprises et religion, comment faire ?
et Laïcité en entreprise : pas de loi... pour l'instant
Si l'essentiel du contenu de cette « charte » ne fait que rappeler des principes en vigueur du droit, il reprend le « devoir de neutralité » religieuse ayant cours dans la sphère publique et prévoit aussi que « le port de signes ou tenues par lesquels les collaborateurs manifestent ostensiblement une appartenance religieuse n'est pas autorisé ».

« J'applique le modèle qui prévaut dans la sphère publique et je l'applique à l'entreprise. J'applique le modèle de la République », a résumé le patron de Paprec, Jean-Luc Petithuguenin.

LIBERTÉ DE CONSCIENCE

Le fait religieux dans une entreprise privée relève de lignes juridiquement plus floues que dans l'espace public, autour du principe général de liberté de conscience. « S'il s'agit de reconnaître que c'est militant, la réponse est oui, assume M. Petithuguenin. On compte défendre notre point de vue, défendre qu'on l'a voté tous ensemble. Mais effectivement, on prend le risque que les tribunaux nous disent “vous avez tort”. Je suis prêt à endosser ce risque et j'espère pour mon pays que je ne serai pas condamné, qu'on verra une évolution et que le législateur fera peut-être bouger les lignes. »

Le débat sur la question est agité depuis la cassation, en mars, du licenciement d'une salariée voilée de la crèche privée Baby-Loup, qui avait entraîné des appels à légiférer, à droite comme à gauche. Fait rare, ce licenciement a ensuite été confirmé en appel, en novembre. Chez Paprec, l'idée de la charte est née « en septembre » et son adoption s'est faite en quatre mois, avec l'aval unanime de l'ensemble du personnel et des comités d'entreprise.

Lire notre décryptage : L'affaire Baby Loup en quatre questions

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/02/10/le-recycleur-paprec-adopte-une-charte-de-la-laicite_4363230_3224.html


samedi 11 janvier 2014

Et si le salut venait de Tahiti ?

Le 13 novembre dernier les Tahitiens ont manifesté contre l’implantation d’une mosquée. Croyez-vous que nos média en aient parlé en métropole ? Ben non, rien, ils préfèrent patauger dans la querelle des quenelles qui est, vous l’avez compris, bien plus dangereuse que la montée de l’insécurité, du chomage et de l’islamisme.
La vidéo de cette manifestation est ICI 
Si tu vas à Rome, habille-toi comme un romain. Lorsque j’ai vu cette vidéo, j’ai vu des vêtements colorés, des colliers de fleurs, des chapeaux de paille, des sourires, j’ai entendu des chants, j’ai ressenti leur bonheur. Pas de rictus de haine, pas de poings levés, pas d’affiches vengeresses, pas de robocop, pas de cagoules, pas de gazage, non rien de tout cela. Simplement une manifestation pacifique et un policier tout sourire.
L’ambiance est bon enfant mais il ne faut pas s’y méprendre. Les tahitiens sont très fiers de leur identité, de leur culture et de leur pays et plutôt que de voir ce truc :

Ils préfèrent voir cela :
tahiti
Et vous ? Vous préférez voir quoi ?
Pour ma part, ce serait plutôt short fleuri plutôt que pyjama rayé et les fesses en l’air, la plage plutôt que le bitume, un espadon grillé plutôt qu’un kebbab, des palmes plutôt que des babouches, la liberté plutôt que des barrières aussi physiques que dogmatiques, les chants tahitiens plutôt que l’appel du mueslim à la prière, des cocotiers plutôt que des minarets, l’odeur de coco et de tiaré plutôt que celle du sang des moutons qu’il faut égorger à la moindre fête musulmane.
Pour mon épouse, c’est plutôt paréo que voile, cheveux aux vents plutôt qu’un carcan, et si elle se déchausse ce n’est pas pour entrer dans une mosquée mais pour faire trempette dans le lagon.
Les Tahitiens ont dit NON à une religion totalement opposée à leur art de vivre. Ils ont dit NON à une mosquée, ils se sont exprimés de façon pacifique mais sont déterminés à refouler un système totalitaire. Une mosquée, un peu d’importation, puis une autre mosquée, puis encore d’autres alimentées par de l’importation, charia et interdiction du bikini…Il y a incompatibilité évidente.
Nous recevons en métropole une belle leçon de courage d’un peuple qui tient à ses traditions. Il apparaît encore une fois que l’esprit de la Liberté vient non pas de l’Elysée ou de Vichy mais de Papeete cette fois-ci, auparavant de Londres ou de Koufra. Je salue ce courage.
 Philippe Legrand

mercredi 8 janvier 2014

Geert Wilders : les 10 actions pour stopper l’islamisation de l’Europe


geert-wilders.jpg
A lire sur Révoltes en Europe
"Geert Wilders, le responsable politique néerlandais du parti de la Liberté s’est exprimé  le 15 décembre devant la ligue du nord à Turin contre l'union européenne, monstre bureaucratique anti-démocratique et en exposant un plan en 10 points pour stopper l’islamisation de l’Europe :
1. Arrêter le relativisme culturel et inscrire dans la constitution des pays l’origine judéo-chrétienne de la civilisation européenne

2. Arrêter de prétendre que l’islam est une religion. L’islam est une idéologie totalitaire où l’apostasie est condamnée à mort

3. Arrête l’immigration de masse en provenance des pays musulmans

4. Encourager les immigrés à retourner dans leurs pays arabo-musulmans

5. Expulser les criminels étrangers et ceux à double nationalités vers leurs pays d’origine arabo-musulmans

6. Renforcer la liberté d’expression dans la constitution européenne

7. Forcer les minorités extra-européennes à s’assimiler

8. Renforcer la coopération entre les pays européens dans la lutte contre l’islamisation

9. Arrêter la construction de mosquées tant que les pays musulmans interdisent la construction d’églises ou de synagogues. Fermer les mosquées où les prêches incitent à la violence. Fermer les écoles islamiques où les jeunes sont endoctrinés dans la haine et la violence

10. Remplacer les politiques actuels collaborant à l’islamisation par des leaders courageux n’ayant pas peur de dénoncer la menace"
 
Wilders enfonce courageusement le clou tout en essayant de créer un réseau de résistants européens. Bravo et merci à lui. Tout a du sens, et, même si les politiques de la trempe de Wilders sont peu nombreux, on ne peut que se réjouir de voir la langue de bois disparaître peu à peu. Son entente avec Marine le Pen est une excellente chose et si leur projet d'unifier plusieurs groupes europhobes au Parlement européen en constituant un groupe politique pouvait également s'accompagner d'une entente islamophobe, on ferait de grands pas...

"Le groupe envisagé par Marine Le Pen et Geert Wilders pourrait inclure, entre autres, le Vlaams Belang belge, la Ligue du Nord italienne, l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) et le Parti de la liberté autrichien (FPÖ) ainsi que des partis d'Europe du Nord.
Mais Marine Le Pen et Geert Wilders ont exclu de s'associer, par exemple, avec les Hongrois du Jobbik et d'autres députés nationalistes slovaques, roumains et bulgares, tous accusés de dérives racistes. Quant aux Britanniques de l'UKIP de Nigel Farage, qui forment l'ossature du groupe EFD, ils estiment trop extrêmes certaines positions de Geert Wilders." 
 
Nota bene : je ne suis pas, quant à moi d'accord avec la proposition 9 de Geert Wilders. Quel que soit le sort des églises et des synagogues en pays musulmans, je pense qu'il faut arrêter et interdire la construction des mosquées en France. Point barre. 
  VU ICI

mardi 31 décembre 2013

INQUIETUDES ALGERIENNES JUSTIFIEES

Le triste constat :
L’islamisme attire toujours quand il rencontre un terrain propice.

**L’Algérie est devenue bien malgré elle un fournisseur international de djihadistes avec l’assise wahhabite pour contrer le chiisme et le sofisme.

50% de la jeunesse algérienne est au chômage, livrée à elle-même, sans aucun objectif d’avenir.

Une partie d’entre-elle est prise en main et endoctrinée par les religieux fondamentalistes, elle étudie les sciences islamiques et devient djihadiste tout naturellement.

Les réseaux sont interconnectés à travers le monde et c’est une révolution continue.

On commence par les écoles coraniques et on finit à Al Qaïda.

Ces jeunes partent à Dammaj au Yemen, afin de devenir des machines de guerre et de mort.

Ils se font tuer quotidiennement sur tous les champs de bataille actuels.

Les inquiétudes :
En Algérie l’islamisme a été, pour le moment, vaincu militairement et politiquement mais pas idéologiquement.

**Que deviendront tous ces djihadistes quand les conflits s’arrêteront, car ils s’arrêteront bien un jour, notamment en Syrie ?

Ils reviendront en Algérie et alimenteront le terrorisme. Ils sont donc une menace pour leur propre pays.

Le danger est toujours présent et n’attend que l’occasion pour ressurgir plus fort, plus dangereux, plus destructeur.

**Le monde a cru, nous avons cru, qu’en renversant ce que l’on appelait des dictatures, les peuples arabes se dirigeaient vers plus de liberté, plus de démocratie et moins de religion.

Cela a été une amère déception en Tunisie d’abord puis en Lybie, en Egypte, en Syrie. Les exemples de l’Irak, de l’Afghanistan, du Yemen, etc. sont là pour nous ôter toute espérance.

Il faudra pourtant qu’un jour un de ces pays parvienne à instaurer une véritable république citoyenne et laïque et pourquoi ce pays ne serait-il pas l’Algérie ?

Des principes en héritage :
Je sais que je ne vais pas me faire que des amis mais il s’agit là d’une vérité première, quoi qu’en pense une majorité d’Algériens.

L’Algérie a « bénéficié », je dis bien bénéficié, de 130 années de colonisation.

**Des républicains sont venus la peupler au XIXème siècle, la mettre en valeur, construire avec les Arabes un pays dont ils pouvaient être fiers.

Les musulmans, les juifs et les chrétiens ont toujours pu pratiquer leur religion en toute liberté.

La charia ne s’est jamais exercée.

Tout n’a pas été parfait mais que cela plaise ou non aux algériens, nous leur avons légué des principes qu’une majorité d’entre eux a conservé après notre départ.

**Ferhat Abbas disait :
« C’est bien la pensée française qui est à la base de notre vie morale. A l’empirisme du patrimoine laissé par nos parents et la tradition, l’âme des écrivains français est venue apporter une explication, si j’ose dire, scientifique et rationnelle »

Il faut que ces principes servent à changer totalement l’avenir de l’Algérie.

**Il est fini le temps de se lamenter sur une repentance que nous n’avons aucune raison de leur offrir car nous pourrions nous aussi la réclamer cette repentance.

**Un homme a reconnu le rôle positif de la colonisation, HOCINE AIT AHMED, l’un des chefs historiques du F.L.N.

Il déclarait, dans le numéro de juin 2005 de la revue « Ensemble » :

« Chasser les Pieds-Noirs, a été plus qu’un crime, une faute car notre chère patrie a perdu son identité sociale ».

Il ajoutait :

« N’oublions pas que les religions, les cultures juives et chrétiennes se trouvaient en Afrique bien avant les arabo-musulmans, eux aussi colonisateurs, aujourd’hui hégémonistes. Avec les Pieds-Noirs et leur dynamisme – je dis bien les Pieds-Noirs et non les Français- l’Algérie serait aujourd’hui une grande puissance africaine méditerranéenne.

Hélas ! Je reconnais que nous avons commis des erreurs politiques et stratégiques. Il y a eu envers les Pieds-Noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l’Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens ».

« Du temps de la France l’Algérie c’était le paradis ! »
Peut-être la solution :

**Il n’existe qu’une seule solution pour que cesse ces confrontations meurtrières inter-religieuses : il faut que s’instaure des états modernes sur des valeurs et des principes démocratiques où l’homme est un citoyen et non un croyant.

Il est impératif de séparer la religion de la politique.

Je sais, il est plus facile de le dire que de le faire.

**Nous, français, en sommes un exemple : une révolution a été nécessaire 1789.

Il nous a fallu plus de 150 ans pour y parvenir, je l’espère, définitivement.

*La première loi de séparation de l’église et de l’état date de la constitution de 1795.

*Elle marque un arrêt en 1801 par le concordat entre Bonaparte et l’église.

*Enfin, le 9 décembre 1905 est votée la loi de séparation définitive.

*Mais il faudra attendre la fin de la seconde guerre mondiale, donc les années 1950/1960, pour que la laïcité soit véritablement acceptée par tous.

**Le temps du changement est arrivé. Il faut que l’Algérie choisisse des hommes dignes de réaliser ce rêve. Ils existent, ils sont jeunes, ils n’ont pas vécu la colonisation.

Écartez les anciens ! Constatez vers quoi ils ont conduit leur pays en 50 ans !

L’Algérie peut devenir la première véritable république du monde Arabe !

*La première à séparer totalement la religion de l’état, le citoyen du croyant.

*La première démocratie.

Encore faut-il qu’elle prenne son destin à bras le corps

vu ici

Le cauchemar des multiculturalistes : 50% des musulmans d’Europe réclament l’islamisation et la charia



La majorité des musulmans en Europe pense que la loi islamique de la charia devrait avoir la préséance sur les constitutions et les lois laïques de leurs pays d’accueil. Selon une nouvelle étude, le fondamentalisme islamique progresse très rapidement en Europe occidentale.
Une enquête comparative d’intégration des immigrants turcs et marocains, effectuée dans six pays occidentaux – Autriche, Belgique, France, Allemagne, Pay-Bas et Suède -a été publiée le 11 décembre dernier par le WZB Berlin Social Science Center, l’un des plus grands instituts européen de recherches en sciences sociales.
D’après cette étude, dirigée par le sociologue néerlandais Ruud Koopmans et financée par le gouvernement allemand :
    
        65% des musulmans interrogés affirment clairement que la loi islamique de la charia est plus importante à leurs yeux que les lois du pays dans lequel ils vivent.
        75% des personnes questionnées partagent l’avis selon lequel il n’existe qu’une seule interprétation légitime du Coran, qui devrait s’appliquer à tous les Musulmans.
        Près de 60% des musulmans estiment que leur communauté doit revenir à ses racines islamiques.
        44 % des Marocains et des Turcs interrogés adhèrent à ces déclarations fondamentalistes.
        Ces idées fondamentalistes se propagent non seulement chez les jeunes musulmans, mais également chez les plus âgés.
Les résultats de l’étude montrent que le fondamentalisme islamique est plus marqué en Autriche, où :
    
        73 % des musulmans interrogés déclarent que la charia est plus importante que les lois laïques de l’Etat,
        79% affirment qu’il n’y a qu’une seule interprétation correcte du coran et elle devrait s’appliquer à tous,
        65% pensent que les musulmans doivent revenir à leurs racines islamiques,
        et 55% approuvent les idées énoncées ci-dessus.

L’auteur de l’étude affirme que les comparaisons avec d’autres études allemandes révèlent des tendances très similaires.
• Par exemple, en 2007, une étude sur les « Muslim in Deutschland » avait révélé que 47% des musulmans allemands estimaient que les lois de la charia étaient supérieures aux lois de l’Etat allemand. Dès lors, suivre les règles de sa « religion » l’emportait sur la démocratie.
    Grande hostilité des musulmans envers les minorités
L’enquête montre également la grande hostilité des musulmans envers les minorités, qui sont perçues comme des menaces par le groupe religieux :
60% des Musulmans interrogés rejettent les homosexuels, et 45% déclarent que les Juifs ne sont pas dignes de confiance.
Les musulmans autrichiens semblent être les plus fondamentalistes d’Europe :
    
        60% des musulmans autrichiens rejettent les homosexuels comme amis,
        63% affirment que l’on ne peut pas faire confiance aux Juifs,
        66% sont persuadés que l’Occident essaye de détruire l’islam.
A titre de comparaison, parmi les Européens non musulmans sondés pour l’enquête dans les six pays ci-dessus :
    
        8% expriment leur méfiance envers les Juifs,
        10% déclarent leur aversion envers les homosexuels,
        21% n’aiment pas les musulmans,
        1.4% ne supportent ni les juifs, ni les homosexuels, ni les musulmans.

Pour Koopmans, le fondamentalisme musulman n’est pas une forme innocente d’une religiosité stricte. Alors qu’un Européen sur cinq peut être considéré comme islamophobe, le niveau de phobie contre l’Occident exprimé par les Musulmans, pour lequel il n’existe pas de terme, sinon « l’occidentalophobie » est beaucoup plus élevé : 54% des Musulmans croient que l’Occident veut détruire l’islam.
Ces résultats, dit Koopmans, contredisent clairement l’affirmation souvent entendue que le fondamentalisme religieux islamique est un phénomène marginal en Europe occidentale, comparable à l’intégrisme au sein de la majorité chrétienne. Or cette allégation est erronée, car 50% des Musulmans en Occident veulent revenir aux racines de l’islam, affirment qu’il n’y a qu’une seule interprétation du coran, applicable à tous, et que la loi islamique de la charia est supérieure aux lois laïques.
Parmi les Chrétiens en Occident, moins d’un sur vingt-cinq peut être considéré comme fondamentaliste.
L’intégrisme religieux islamique et ses corrélats : homophobie, antisémitisme et « occidentalophobie » devraient vivement inquiéter les gouvernements occidentaux et les leaders des communautés musulmanes. Evidemment, l’intégrisme religieux ne doit pas nécessairement être assimilé à l’envie de faire usage de la violence pour des motifs religieux, mais, vu son hostilité envers les minorités perçues comme des dangers, l’intégrisme religieux peut facilement nourrir le terreau de la radicalisation.
    Une société libre peut être vaincue et soumise
« Les données ne sont pas suffisantes pour tirer de simples conclusions » écrit Die Welt, toutefois, les démocraties doivent se méfier de ceux qui pensent qu’une société libre peut être vaincue et soumise.

D’autre part, un document de travail publié par la Fondation Gustav Stresemann, basée en Allemagne – un groupe de réflexion dédié à la préservation et à la promotion de la démocratie libérale en Europe – lance un avertissement des plus inquiétants : les organisations islamiques nationales et internationales exercent de plus en plus de pression sur les politiciens occidentaux dans le but de faire criminaliser progressivement toute critique de l’islam.
La quotidien allemand « Die Welt » déclare dans un commentaire que l’étude jette de sérieux doutes sur l’optimisme angélique des « multiculturalistes » européens, pour qui les citoyens musulmans finiront par intérioriser l’état d’esprit et les valeurs des démocraties occidentales.
Le politologue scientifique Félix Strüning, auteur du document publié par la Fondation Gustav Stresemann présente dans son rapport une analyse méticuleusement détaillée des efforts entrepris par le lobbying islamiste pour réduire au silence Thilo Sarrazin – politicien socialiste, économiste et banquier allemand -, via des poursuites judiciaires, pour s’être rendu coupable d’avoir critiqué le refus des immigrants musulmans à s’intégrer dans la société allemande, ce qui, paradoxalement, est précisément ce qu’ils revendiquent.
En octobre 2009, au cours d’une interview avec un magazine culturel, basé à Berlin, Lettre International, T. Sarrazin avait déclaré :
“Un grand nombre d’Arabes et de Turcs de cette ville n’exercent aucune profession productive, à l’exception du commerce de fruits et légumes. Le nombre de naissances parmi les Arabes et les Turcs est deux fois supérieur à celui de la population allemande.
Une grande partie de ces immigrants, soit refusent de s’intégrer, soit sont incapables de le faire. La solution à ce problème serait d’arrêter l’immigration, à l’exception d’individus hautement qualifiés, et de ne plus offrir de protection sociale aux immigrants.
Les immigrants doivent faire l’effort de s’intégrer. Je n’ai pas à accepter des personnes qui ne fournissent aucun effort. Je n’ai pas à accepter des personnes qui vivent de l’assistanat, de la générosité d’un Etat, qu’ils rejettent par ailleurs.
Je n’ai pas à accepter des personnes qui ne s’occupent pas de l’éducation de leurs enfants, voilent de plus en plus leurs petites filles et refusent l’intégration. Cela s’applique à 70% des immigrants turcs et à 90% des immigrants arabes de Berlin. »
Ci-dessous, quelques extraits de   »L’Allemagne disparait*» de Thilo Sarrazin (Editions du Toucan).
Politiquement très incorrect : « Lorsque des immigrés turcs, même de la troisième génération, ne parlent pas encore vraiment allemand, on en rend responsable l’hostilité de l’environnement, qui a empêché l’intégration. Mais pourquoi, on se le demande, ces difficultés n’apparaissent-elles pas dans la quasi-totalité des autres groupes de migrants ? »
Jeunes musulmans agressifs : « De façon indéniable, le problème allemand de l’éducation est le plus souvent un problème de migrants musulmans. (…) Il existe un lien tout à fait réel entre les mauvais résultats scolaires des migrants turcs en Allemagne et les mauvais résultats du système scolaire turc à l’étude Pisa 2006. Cette mauvaise position joue un rôle notable dans le potentiel agressif de nombreux jeunes Turcs et Arabes. »
La liste des problèmes que posent certains immigrés : « La problématique particulière liée aux immigrés islamiques ne se limite pas à l’Angleterre. Dans tous les pays concernés – Angleterre, France, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Danemark ou Norvège –, on fait des constatations comparables à propos du groupe des migrants musulmans, à savoir :
– intégration au marché du travail inférieure à la moyenne,
– dépendance à l’égard des transferts sociaux supérieure à la moyenne,
– participation à l’éducation inférieure à la moyenne,
– taux de natalité supérieur à la moyenne,
– ségrégation topographique, avec tendance à créer des sociétés parallèles,
– religiosité supérieure à la moyenne, avec une tendance croissante à rejoindre les courants traditionnels ou fondamentalistes de l’islam;
– criminalité supérieure à la moyenne, depuis la « simple » criminalité violente dans la rue jusqu’à la participation à des activités terroristes. »
On ne peut plus clair : « Sur le plan économique, nous n’avons pas besoin de l’immigration musulmane en Europe. Dans tous les pays, les immigrés musulmans, compte tenu de leur faible participation à l’activité professionnelle et de leur forte consommation de prestations sociales, coûtent plus cher aux caisses de l’État qu’ils n’apportent de valeur ajoutée. Du point de vue de la culture et de la civilisation, les images de la société et les valeurs qu’ils défendent constituent une régression. »
Un mot sur la France : « La France a connu, en plusieurs vagues, des immigrations polonaise, juive, chinoise et vietnamienne. Toutes ont connu la réussite économique, se sont intégrées sans problème et ont peu à peu fusionné avec la société majoritaire sans avoir recours aux aides de l’État. Mais la France a de tout autres problèmes avec les immigrés musulmans, notamment en provenance d’Algérie. Walter Laqueur émet cette supposition : « Il doit y avoir, dans l’attitude mentale de ceux qui se sentent marginalisés, quelque chose qui leur rend plus difficile l’accès à la réussite existentielle. »
Un peu de populisme : « Une partie des Allemands – y compris de l’élite – n’a pas encore compris le problème. Dans le monde où ils vivent, logent et travaillent, les immigrés musulmans n’apparaissent que pour venir nettoyer les bureaux, ou bien comme décor exotique lors d’une visite occasionnelle à Berlin-Kreuzberg. Une partie des intellectuels et de la presse libérale semble même éprouver une joie secrète à l’idée que l’immigration musulmane sape la société allemande. »
L’Association turque de Berlin – Brandebourg (Türkischer Bund Berlin – Brandebourg, TBB) avait poursuivi T. Sarrazin pour incitation à la haine (Volksverhetzung). Toutefois, les procureurs allemands avaient rétorqué que les déclarations de T. Sarrazin étaient protégées par la liberté d’expression et clôturèrent le dossier.
Furieux, le TBB s’adressa alors au CERD (Comité pour l’élimination de la discrimination raciale). Ce Comité fut chargé de déterminer si les déclarations de T. Sarrazin violaient la convention internationale sur l’élimination de la discrimination raciale.
En février 2013, le Comité affirma que les déclarations de T. Sarrazin transgressaient la convention, car elles exprimaient des idées de supériorité raciale, niaient le respect dû aux êtres humains et stigmatisaient la population turque. Le Comité ajouta que les déclarations de T. Sarrazin incitaient à la discrimination raciale, car celles préconisaient la suspension des prestations sociales aux Turcs, à l’exception des personnes hautement qualifiées, et l’arrêt de l’immigration.
Il est important de souligner que le CERD a également critiqué l’article 130 du Code pénal allemand, (le paragraphe d’incitation à la haine Volksverhetzungsparagraf), car il protège la liberté d’expression garantie par la Constitution allemande, à condition qu’elle ne soit pas utilisée pour nuire à la paix sociale et à la sécurité publique. Et cette dernière partie gène le CERD.
Le CERD prévoit une limite légale beaucoup plus basse, au-delà de laquelle un discours peut être qualifié de discours de haine. La convention des Nations Unies ne stipule pas qu’un discours devient discours de haine s’il est susceptible de nuire à l’ordre public. Le CERD fait dès lors pression sur l’Allemagne pour qu’elle modifie sa législation, afin d’être en conformité avec la convention des Nations Unies, en supprimant de sa loi le seuil légal délimité par « discours susceptible de nuire à l’ordre public ».
Selon F. Strüning, si l’Allemagne devait accéder à cette exigence, il serait dès lors permis d’interdire toute déclaration sur l’islam ou les musulmans, ce qui signifierait une atteinte irréversible à la liberté d’expression. Même si le gouvernement allemand a jusqu’à présent refusé de ré-ouvrir l’enquête sur T. Sarrazin, F. Strüning souligne le danger que fait courir le CERD à la liberté d’expression et aux autres droits fondamentaux en Europe et aux USA, car il autorise les représentants d’états, qui ont clairement une autre compréhension des droits de l’homme, à porter des jugements au sein des Nations Unies.
« Les Nations se sentent obligées de vérifier si les lois existantes sont valables ou si elles doivent être ajustées. Traiter avec des groupes musulmans implique clairement un nouveau défi politique, car de nombreux musulmans préservent farouchement leurs valeurs culturelles et religieuses et les transmettent à l’intérieur de leurs communautés, tout en les défendant de façon virulente à l’extérieur. »
F. Strünning déplore que les Autorités politiques allemandes se plient de plus en plus aux pressions des organisations islamiques allemandes en adoptant les définitions musulmanes de l’islamophobie, lors de discours publics, créant ainsi une incertitude légale, quant à qui peut dire quoi à propos de l’islam et des musulmans en Allemagne. Par exemple, les autorités allemandes ont officiellement confirmé qu’elles surveillaient les sites internet allemands qui critiquent l’immigration musulmane et l’islamisation de l’Europe.
Et Strüning de conclure :
“Les personnes qui critiquent l’idéologie et les organisations islamiques sont constamment confrontées à des poursuites judiciaires et doivent se défendre contre les accusations de blasphème ou d’incitation à la haine. Même si elles n’aboutissement pas toujours à une condamnation, cela coûte énormément de temps et d’argent, et ces personnes voient leur réputation salie et parfois perdent leur emploi. Dès lors, même en Occident, nous assistons à l’application de facto de la loi islamique de la charia en ce qui concerne l’islam. »
« Les Allemands constatent que la « spirale du silence » en relation avec l’islam est déjà appliquée aujourd’hui. Lors d’une enquête représentative en Allemagne, la majorité des gens interrogés a admis ne pas oser critiquer l’islam et les musulmans en public »…
Rosaly : Amer constat et conclusion d’une extrême gravité. Jusqu’où ces irresponsables politiques, semeurs de haine envers leurs propres peuples, vont-ils pousser les limites de l’insupportable et nous imposer humiliation et soumission à l’idéologie islamique et à ses fidèles ; à faire de nous, dans nos propres pays, des parias réduits au silence, tout en fermant les yeux sur les associations musulmanes, écoles islamiques, mosquées, qui prêchent et enseignent la haine de la société occidentale, de la laïcité, de la démocratie, de ses valeurs fondamentales, de ses citoyens, et d’Israël.
Par leur déni obstiné de la réalité, ils deviennent complices de la propagation de l’islam, l’islam suprémaciste, conquérant, belliqueux, liberticide, avec son cortège d’actions violentes et de revendications de plus en sectaires et communautaires. Plus l’Occident se veut humaniste, altruiste, ouvert, généreux, au détriment de ses propres peuples, plus il est haï, détesté, critiqué, menacé par ceux qu’il accueille, protège et nourrit gracieusement.
Notre tolérance est aujourd’hui utilisée contre nous et l’issue ne peut être qu’une seule… soit la révolte des peuples, soit leur soumission totale à la nouvelle idéologie islamo-nazie.
Ne réalisent-ils pas qu’ils sont en train de créer le terreau propice à l’explosion de futures guerres civiles en Occident ?
Grâce à cette politique d’immigration suicidaire de l’Occident, délibérément imposée par l’UE « prix Nobel de la Paix », le spectre de conflits inter-confessionnels hante à nouveau le ciel de l’Europe.


Source : http://www.gatestoneinstitute.org/4092/europe-islamic-fundamentalism. Europe: Islamic Fundamentalism is Widespread, by Soeren Kern, traduit, adapté et commenté par Rosaly.
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lundi 30 décembre 2013

Les musulmans européens jouissent du droit exclusif de conserver le mode de vie reposant sur la religion traditionnelle /Les chrétiens européens et les Européens en général sont privés de ce





La presse occidentale abonde en publications consacrées aux atteintes aux droits des chrétiens en Europe. Les experts constatent avec anxiété l’extinction de la civilisation européenne traditionnelle et un regain d’influence de l’alternative musulmane.



Des formes nouvelles de discrimination, pour ne pas dire de persécutions, des chrétiens apparaissent en Occident. Il est facile de s’en convaincre sans mener des études spéciales : il suffit de lire les informations sur les événements de ces dernières semaines.

Prenons à titre d’exemple le récent scandale en Grande-Bretagne où les responsables de la chaîne Marks and Spencer (M&S) ont autorisé les vendeurs musulmans à ne pas servir les clients achetant de l’alcool ou de la viande de porc. Un porte-parole de M&S a ajouté que la chaîne visait à créer « un milieu libre de la discrimination » et, dans cet ordre d’idée, allait à la rencontre des vœux du personnel. M&S se proposait d’étendre sa nouvelle politique sur les représentants d’autres confessions, plus particulièrement les chrétiens qui ne voulaient pas travailler dimanche et les juifs célébrant samedi. Les dirigeants de la chaîne ont annulé leur décision face à de nombreuses protestations. Ce qui n’a pas d’ailleurs modifié la position des gens qui ont soutenu l’appel à boycotter la chaîne.

En Europe de nos jours nous assistons à deux processus simultanés ayant des vecteurs opposés. Les musulmans européens jouissent du droit exclusif de conserver le mode de vie reposant sur la religion traditionnelle auquel ils sont habitués depuis la naissance.

Les chrétiens européens et les Européens en général dont le mode de conduite repose sur le paradigme chrétien sont privés de ce privilège. Cette situation est aggravée par la sécularisation de la vie sociale européenne.

Selon Konstantin Voronov de l’Institut de l’économie mondiale et des relations internationales de l’Académie des sciences de Russie, de fait, nous avons affaire aux doubles standards :
« Cela tient aux processus d’érosion historique et culturelle dans les conditions de la mondialisation, aux processus approfondis se produisant dans les sociétés occidentales qui ont abouti à des changements dans les domaines spirituel et moral. A mon avis, c’est un phénomène objectif. Avant, l’humanité vivait sur des « îlots » de civilisation dans des espaces isolés. A présent, des processus de migration se sont intensifiés ce qui engendre des conflits ».

Selon les apologistes de la politique de migration intense, les immigrés augmentent la base imposable et aident à compenser les dépenses publiques croissantes occasionnées par la nécessité d’entretenir les personnes âgées. Les immigrés sont simultanément les travailleurs et les consommateurs : en occupant des postes de travail ils augmentent la demande. Cela stimule l’emploi. Les immigrés ouvrent des entreprises nouvelles et participent directement à la création de nouveaux emplois. Bref, c’est plutôt un bien pour l’économie de l’UE.

Mais l’économie n’est qu’une partie de la vie. Les processus en question ne peuvent pas être qualifiés de positifs du point de vue de la préservation de la civilisation européenne. Car ils sapent les fondements de cette dernière. En d’autres termes, les immigrés apportent une culture, une tradition et une confession différentes et créent des copies de leur univers au cœur du Vieux continent.

Cela avec le soutien énergique des autorités européennes qui font tout leur possible pour que la population autochtone* ne se sente pas comme chez elle. D’où les excès à l’instar de celui de M&S, note le professeur du Haut collège d’économie Oleg Matveïtchev.

« L’idée de « partager pour régner » redevient actuel dans les conditions de la mondialisation. D’où la tendance à encourager toute sorte de différences. C’est l’essence de la philosophie de post-moderne. On ne peut pas dire que cette philosophie est intransigeante envers les valeurs chrétiennes. Elle est intransigeante envers les valeurs de toute identité collective. Le christianisme est devenu la première cible de destruction en Europe. La situation est actuellement telle qu’il est de fait impossible de rencontrer un Européen croyant. Sans la Pologne et l’Espagne, deux pays catholiques traditionnels, les musulmans auraient été plus nombreux en Europe que les chrétiens ».

Au lieu du christianisme traditionnel Bruxelles a engendré une religion nouvelle prônant la mondialisation, l’égalitarisme, les frontières ouvertes et le gouvernement mondial. Selon les hauts responsables européens, les gens de par le monde assimilent volontiers les valeurs, les institutions et la culture occidentales parce qu’elles incarnent la pensée supérieure, la plus libérale, la plus rationnelle, la plus moderne et la plus civilisée de l’humanité. Cette foi dans l’universalité de la culture occidentale est l’erreur la plus grandiose des constructeurs d’une Europe nouvelle.

Il s’est avéré que l’éthique laïque de l’Europe avait des frontières géographiques. Les gens invités par l’Europe pour soutenir son économie ne souhaitent pas la partager même s’ils en comprennent l’essence. Les immigrés ont leur propre opinion sur ce qui est bon ou mauvais.

Cela est devenu une forte surprise pour la partie d’accueil, note Oleg Matveïtchev :
« Plus énergiques sont les efforts visant à imposer à la société le politiquement correct, plus conflictuelle devient cette société.

C’est ce dont le gouvernement mondialiste a besoin. Parce que cela signifie gouverner le chaos : plus nombreux sont les conflits, plus fort doit être le pouvoir ». Les Européens ne ménagent pas d’efforts pour créer un monde à partir d’une multitude de civilisations. En d’autres termes, un monde n’appartenant à aucune civilisation et privé d’un noyau culturel. Ils se trompent.

* Ces populations, appelées également les « peuples premiers »

Sergei Duz
http://french.ruvr.ru/2013_12_27/Christianisme-la-bouee-de-sauvetage-pour-lEurope-4219/
VU ICI

dimanche 29 décembre 2013

Islam et droits des femmes en Belgique

Féministe musulman
Je n'y crois pas vraiment........un rêve en couleur
Lorraine



Ghaliya Djelloul, Socio-anthropologue, présente son livre " Parcours de féministes musulmanes belges - De l’engagement dans l’islam aux droits des femmes ?" dans le TIJJINI Talk sur Maghreb TV.
www.facebook.com/TIJJINI
www.maghrebtv.be
 
vu ici

vendredi 27 décembre 2013

Assimilation, intégration ou société « inclusive » ?





La société « inclusive » est une nouvelle invention de la Gauche gaucho-bobo. On ne parlera plus d’assimilation ou d’intégration, termes qu’il nous faut définitivement oubliés, mais d’inclusion.

C’est en tous cas la conclusion du « rapport pour la refondation de la politique d’intégration » commandé par le gouvernement socialiste. Nos petits révolutionnaires de salon ne chantent-ils pas dans leur vieille rengaine, l’Internationale : « Du passé faisons table rase » ?


Rouges, roses, verts, même combat. La couleur change mais la sottise demeure. Il est vrai que pour la question des couleurs, ils en connaissent un rayon. Ne nomment-ils pas à l’envi, dans leurs associations communautaristes, « les noirs et les jaunes » ? Ou « les beurs » ? Ou « les musulmans et les juifs » ?

Comme si l’origine ethnique, la religion ou la couleur de peau avaient une quelconque importance quand on veut engendrer des Français. Il y a des Français, point ! Ceux qui veulent s’intégrer ou s’assimiler.


Mais, malheureusement, nos gaucho-bobos, croyant comme toujours à leurs vieilles lunes réformatrices qu’une meilleure intégration se fera en supprimant … l’intégration, veulent une nouvelle société où l’immigré aura les mêmes droits que l’autochtone qui, lui, devra s’adapter aux particularismes, sociaux et culturels, de tout nouvel arrivant. Sinon, attention, il y aura discrimination, voire racisme !

A côté de la culture française, les autres cultures devront être admises sur un même échelon de valeurs ; nos petits français en devenir, d’origines diverses, n’apprendront plus l’histoire de France mais une histoire réadaptée à leurs tempos. Plus question d’héritage collectif, un simple socle commun à minima, suffira.

Or pour créer un lien et faire en sorte que ces enfants deviennent des citoyens français, fiers de leur nouvelle nation, il faut d’abord leur apprendre l’histoire de France. A moins de vouloir créer des citoyens n’ayant aucun sens patriotique. Plus de Patrie, plus de Nation, plus de Pays - c’est bien-là semble-t-il tout le sens du projet - où plus rien ne devrait logiquement séparer l’étranger du Français en termes de droits, et où il est spécifié qu’il faut : « Mettre fin à l’assignation sociale par héritage »

… Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls n’a-t-il pas déjà supprimé le terme d’intégration par décret du 12 juillet 2013 en vue de la réorganisation de la gestion des flux migratoires ? Et le terme de Secrétariat général à l’immigration et à l’intégration a été remplacé par la « Direction des étrangers en France ». Nos internationalistes de tous poils en avaient rêvé …

Que toutes les cultures puissent être intéressantes c’est incontestable, mais la culture étant l’élément fondateur d’une nation, d’une civilisation, il est dangereux de faire côtoyer en apprentissage plusieurs cultures sur un même territoire. Le multiculturalisme est un leurre car l’histoire est là pour nous le rappeler : à chaque fois qu’un peuple accueilli était suffisant en nombre, il imposait sa culture.

La société inclusive que l’on nous prépare va mettre en place une formidable pétaudière car, en voulant préserver à tous prix toutes les diversités, elle va recréer un modèle de nation tribale comme au temps des Gaulois. Quel progrès !
La spécificité de la France, contrairement à la tradition des pays anglo-saxon, a toujours été d’être assimilatrice et jusqu’à ce jour personne ne peut s’en plaindre : cela nous a évité bien des tensions communautaires et a plutôt bien marché pour l’intégration républicaine … tant que nous n’avions pas baissé la garde.

La diversité peut être enrichissante tant que le pays d’accueil garde sa culture historique, conceptrice de la Nation et si cette culture demeure coutumière et valorisante.
« Une culture ne meurt que de sa propre faiblesse » disait André Malraux.

A bon entendeur, salut !

Claude PICARD
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Belgique : Luc Trullemans, l’ex-star de la météo, publie une « lettre adressée aux arabes »


Au printemps 2013, l’ex-Monsieur météo de RTL avait déjà été au coeur d’une grosse polémique après la publication sur sa page Facebook de propos jugés ‘racistes’ (relire l’article). Aujourd’hui, il est de nouveau sur la sellette après avoir publié sur Facebook une « lettre d’un ami adressée aux Arabes ».
Dans cette lettre, cet ami s’adresse « à tous nos amis Tunisiens, Algériens, Marocains, Égyptiens, Libyens, et tous les autres ». Il imagine la situation suivante : ces derniers retournent chez eux et les Belges sont tristes…
Extraits :
« Bien sûr, soyez convaincus que nous serons très tristes, car vous allez beaucoup nous manquer. Nous ne verrons plus de prénoms à consonance maghrébine dans les faits divers des journaux, beaucoup de coutelleries devront fermer leurs portes, les producteurs de moutons vont se reconvertir, SOS racisme et le MRAP vont mettre la clef sous la porte, les démineurs vont connaître le chômage, les réduction d’effectifs vont frapper en masse nos forces de l’ordre, les banlieues ne seront plus illuminées la nuit par les voitures incendiées, le prix du café dans les bistrots va augmenter »
 « N’ayez pas le cœur serré, nous comprenons vos priorités : les maigres allocations et autres avantages sociaux que nous vous octroyons sont si dérisoires par rapport à la manne céleste que vous allez récolter en vos contrées enfin libérées.
Nous comprenons qu’ayant tellement souffert de notre envahissante chrétienté, vous préfériez revenir à une république laïque et libre, et que vous aspirez à occuper dorénavant des postes à hautes responsabilités, rémunérés en conséquence, et que vous aurez plaisir à retrouver la douceur de votre climat sud-méditerranéen ».
« Et si jamais nous n’arrivons pas à nous passer de vous, vous nous accueillerez. Vous allez certainement penser à mettre en place, pour nous accueillir dignement, des allocations spécifiques pour émigrés, des mutuelles gratuites, la C.M.U., l’A.M.E., une priorité aux logements, etc.
Vous serez ouverts à cette société multiculturelle que vous revendiquiez à cor et à cris chez nous, vous nous permettrez d’élever des cochons, et vos forces de l’ordre supporteront d’être insultées sans broncher. Nous revendiquerons nos droits, pas nos devoirs, et si ça ne marche pas, alors on caillassera vos administrations et on mettra le feu à quelques bagnoles. Et si vous ne nous construisez pas rapidement des églises, nous brulerons vos mosquées. »
En 21 heures, ce poste de Trullemans comprenant la lettre de son ami a déjà été partagé plus de 280 fois et commenté 100 fois. Et certains de s’exclamer : « Si c’était vrai, ce serait le miracle de Noël ».
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