« Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté », écrivait Confucius.
Vite enterré, le rapport Refondation de la politique d’intégration, rendu la semaine dernière, est un événement historique considérable, puisqu’il représente la fin de l’idée même de la nation française. La suppression du terme d’« intégration » marque un tournant décisif dans l’histoire de notre pays : désormais, la France n’existe plus que comme un mot. Concrètement, elle n’existe plus : ses valeurs ne priment plus sur celles de l’étranger, ses racines doivent s’effacer devant celles de « l’autre ».
Aujourd’hui, la République a signé l’acte de décès de la France. Enfin, les masques tombent, la triste vérité éclate au grand jour : on savait que la République n’était pas la France, on voit maintenant que la République est la négation de la France.
Beaucoup seront tentés d’y voir une lubie de plus de la pseudo-élite qui dirige désormais notre pays. Mais le mal est en réalité plus profond : il s’agit de la conséquence finale du processus de destruction nationale entrepris par la République, processus qu’elle contient dans son ADN même. Elle ne s’est pas construite positivement, mais bien en opposition par rapport aux deux principaux piliers qui ont fait la France : la monarchie et le catholicisme.
Après avoir tué la première, elle a eu raison du second par le biais de la loi de 1905. Mais elle ne peut s’arrêter là : idéologie nihiliste par essence, elle doit détruire, encore et toujours. La prochaine victime, c’est le peuple français. Ironie de l’histoire : l’idéologie républicaine s’en était servie pour se débarrasser du christianisme. « Nos ancêtres les Gaulois » avait pour but de le chasser du territoire. « Nos ancêtres les Arabes » servira maintenant à remplacer le peuple français.
Le glissement était perceptible depuis des années. La marque la plus criante était cette substitution du mot « République » en lieu et place de celui de « France ». Les « valeurs républicaines » ou le « pacte républicain » reviennent sans cesse depuis des années. Du Front national au Front de gauche, les hommes et femmes politiques ressassent ces termes creux, sans signification claire, y mettant chacun des notions qui leur sont propres. La République est devenue le plus grand dénominateur commun, au détriment de la France. Cette évolution du langage a préfiguré l’effacement pur et simple de la nation française, dont ce dernier rapport est une étape décisive.
« Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté », écrivait Confucius. Puisse le peuple français faire sienne cette phrase du grand philosophe chinois. Sinon, il risque de se retrouver dans une France qui n’en aura plus que le nom.
vu ici
Vite enterré, le rapport Refondation de la politique d’intégration, rendu la semaine dernière, est un événement historique considérable, puisqu’il représente la fin de l’idée même de la nation française. La suppression du terme d’« intégration » marque un tournant décisif dans l’histoire de notre pays : désormais, la France n’existe plus que comme un mot. Concrètement, elle n’existe plus : ses valeurs ne priment plus sur celles de l’étranger, ses racines doivent s’effacer devant celles de « l’autre ».
Aujourd’hui, la République a signé l’acte de décès de la France. Enfin, les masques tombent, la triste vérité éclate au grand jour : on savait que la République n’était pas la France, on voit maintenant que la République est la négation de la France.
Beaucoup seront tentés d’y voir une lubie de plus de la pseudo-élite qui dirige désormais notre pays. Mais le mal est en réalité plus profond : il s’agit de la conséquence finale du processus de destruction nationale entrepris par la République, processus qu’elle contient dans son ADN même. Elle ne s’est pas construite positivement, mais bien en opposition par rapport aux deux principaux piliers qui ont fait la France : la monarchie et le catholicisme.
Après avoir tué la première, elle a eu raison du second par le biais de la loi de 1905. Mais elle ne peut s’arrêter là : idéologie nihiliste par essence, elle doit détruire, encore et toujours. La prochaine victime, c’est le peuple français. Ironie de l’histoire : l’idéologie républicaine s’en était servie pour se débarrasser du christianisme. « Nos ancêtres les Gaulois » avait pour but de le chasser du territoire. « Nos ancêtres les Arabes » servira maintenant à remplacer le peuple français.
Le glissement était perceptible depuis des années. La marque la plus criante était cette substitution du mot « République » en lieu et place de celui de « France ». Les « valeurs républicaines » ou le « pacte républicain » reviennent sans cesse depuis des années. Du Front national au Front de gauche, les hommes et femmes politiques ressassent ces termes creux, sans signification claire, y mettant chacun des notions qui leur sont propres. La République est devenue le plus grand dénominateur commun, au détriment de la France. Cette évolution du langage a préfiguré l’effacement pur et simple de la nation française, dont ce dernier rapport est une étape décisive.
« Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté », écrivait Confucius. Puisse le peuple français faire sienne cette phrase du grand philosophe chinois. Sinon, il risque de se retrouver dans une France qui n’en aura plus que le nom.
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