lundi 11 novembre 2013
Le danger de l'islam
Les musulmans durs sont les vrais musulmans
En lisant les textes de ce site, on peut mesurer toute l'imposture qui réside dans l'affirmation fausse et néanmoins si souvent martelée sur nos ondes occidentales, selon laquelle l'islam serait une religion de tolérance, de paix et de modération. Elle est en réalité tout le contraire. Sur la tolérance : voyez le sort réservé aux infidèles (section ) ; sur la paix : voyez l'importance de la guerre sainte ; sur la modération : voyez les mêmes prescriptions contre les infidèles, ainsi que celles sur les femmes (section ), ou que les quelques règles de la Charia exposées ailleurs (section ).
(*) Et toutes exactes : nous avons été très attentif à ne relayer dans ces pages que des informations rigoureusement exactes et étayés par des textes clairs du Coran, de la Sunna, ou des grands juristes reconnus dans le monde musulman. Ceux des lecteurs qui seraient choqués par la violence ou l'intolérance de certaines citations peuvent, s'ils venaient à douter de leur authenticité, aller eux même les vérifier dans le Coran (que l'on trouve en français dans toutes les librairies) : c'est pour cette raison que nous mentionnons toujours précisément les références de chaque citation.
L'islam est une religion intolérante et extrêmement agressive. La guerre sainte y est un devoir et le moyen normal de propagation du message d'Allah. Ainsi ce qui ressort de l'étude des textes mêmes de l'islam, donc de sa vraie nature, c'est que ceux des musulmans que l'on nomme islamistes (Talibans, membres du GIA, etc.) et que l'on présente comme des extrémistes qui pervertiraient le message de l'islam, sont en fait de vrais musulmans qui appliquent ce message à la lettre. Ce sont eux les orthodoxes (c'est à dire ceux qui sont dans la « droite ligne » du message d'Allah). Ce sont les musulmans dits modérés qui pratiquent mal leur religion.
L'agressivité violente et l'intolérance en islam sont contenues et découlent directement des textes mêmes qui fondent cette religion, si bien que ceux des musulmans qui sont modérés, ceux des musulmans qui veulent rester humains, ne peuvent l'être qu'en entrant en contradiction avec nombre de préceptes impératifs et clairs de leur religion, autrement dit en reniant une partie de celle-ci.
Qu'elle soit menée au couteau, ou l'arme à feu, c'est le Coran lui-même qui commande la Guerre Sainte, et confère toute leur légitimité divine aux actions des guerriers d'Allah.
L'impossible sauvetage par l'interprétation des textes sacrés
Tous ceux qui connaissent les textes mêmes de l'islam savent cela, que la violence et le fanatisme en islam viennent directement des textes sacrés même de l'islam (Coran, Sunna) et non de la folie des islamistes, qui se contentent de suivre ces textes qu'ils s'imaginent être la parole de Dieu.
C'est pourquoi certaines personnes, des musulmans choqués par la Charia, un peu, mais surtout nombre « d'intellectuels » occidentaux (de nos élites athées, comme de hauts dignitaires catholiques), fondent leur vain espoir d'un islam modéré sur la possibilité d'interprétation des textes du Coran et de la Sunna. Mais leur espoir est bien ridicule et sans avenir, pour deux raisons.
La première est qu'on ne peut interpréter de cent manières différentes un texte clair. Lorsque le Coran prévoit en toutes lettres qu'il faut couper la main du voleur , ou qu'un mari doit battre sa femme qui refuse de lui obéir, de quelque manière que l'on tourne ces versets, on ne peut leur faire dire le contraire de ce qui y est clairement écrit. Et l'on ne peut naturellement encore moins changer ces textes, les réformer, puisqu'ils sont sensés être la parole de Dieu, et que nul homme ne peut prétendre juger mieux qu'Allah ce qui est juste. Le faire serait d'ailleurs, pour les musulmans, commettre un horrible blasphème.
Par ailleurs, l'interprétation des textes sacrés (dans la mesure de ce qui est interprétable) est figée depuis des siècles en islam. En effet, les deux sources du droit musulman, que sont le Coran et la Sunna, ont été précisées et complétées, dans les premiers siècles de l'islam, par l' « effort d'interprétation des textes sacrés »,désigné par le terme arabe : Idjtihad. Cette interprétation correspond à une période de grand dynamisme intellectuel, qui se poursuivra jusqu'au 10eme siècle après J.C. Mais à cette époque, le droit musulman se fige définitivement : c'est la fermeture des portes de L'Idjtihad. A partir de là, plus d'interprétation nouvelle des textes sacrés ne fut possible, et le corps de règles établi n'a jamais varié, jusqu'à aujourd'hui.
Celles de nos élites occidentales qui prônent une nouvelle interprétation des textes fondent donc tous leurs espoirs sur la réouverture de cette interprétation. Mais outre que cette réouverture ne permettrait pas, nous l'avons dit, de faire dire au Coran et à la Sunna le contraire de ce qui y est écrit en toutes lettres, ces intellectuels occidentaux, de toute façon, sont hélas bien naïfs de s'imaginer que les musulmans accepteront de rouvrir les portes de L'Idjtihad, fermées depuis mille ans, simplement pour satisfaire les élites d'une civilisation non-musulmane, et que beaucoup d'imams considèrent comme dégénérée.
Le danger
Lorsque quelque part dans le monde des musulmans modérés entrent en conflit avec des musulmans durs, ce sont toujours ces derniers qui au final l'emportent, d'une part parce qu'ils se montrent les plus agressifs, mais aussi et surtout, d'autre part, parce qu'ils ont pour eux la légitimité des textes du Coran et de la Sunna, grâce à laquelle ils ne peuvent qu'emporter l'adhésion de la majorité des populations qui voient dans ces textes la parole d'Allah.
Là réside le grand danger de la présence musulmane importante en terre d'Europe : partout où il y a des musulmans en grand nombre, il s'en trouve qui veulent appliquer tous les préceptes de leur religion, et se montrent pour cela extrêmement agressifs. Certes ces individus sont minoritaires. Mais d'une part cela ne les empêchera en rien de pouvoir devenir très puissants : dans toute l'histoire de l'humanité, ce sont toujours les petites minorités très actives qui ont fait changer les choses, jamais les grandes masses amorphes. Ensuite, il ne faut nullement compter sur les musulmans dits modérés pour s'opposer aux musulmans durs, et ceci pour les raisons que nous venons de donner : les musulmans durs ont pour eux la légitimité du Coran et de la Sunna.
Enfin, et pour cette même raison, la grande masse des musulmans soutiendra toujours, au moins moralement, les actions même violentes et guerrières des musulmans durs. Il n'est qu'à voir pour en être persuadé, la réaction spontanée de nombre de musulmans de France, au soir de l'agression des combattants d'Allah contre les Etats-Unis d'Amérique le 11 septembre 2001, réaction de joie et même d'euphorie publiquement manifestée à Barbès, à Saint-Denis, à Montpellier, Toulouse, Marseille, Lille, Villeurbanne, ou encore dans le 18ème arrondissement de Paris.
Il n'est qu'à voir également, passées ces premières réactions spontanées, l'absence de condamnation formelle de ces attentats meurtriers par la majorité des musulmans, et même les tentatives d'excuses et de justification de ces actes barbares au nom d'une prétendue culpabilité des Etat-Unis, voire de l'Occident tout entier.
Les attentats du 11 septembre 2001
L'islam, massivement implanté aujourd'hui en Belgique, en France et dans toute l'Europe de l'ouest, constitue pour ces pays et les populations non musulmanes qui y vivent un énorme danger.
Aujourd'hui, qu'on le veuille ou non, et malgré les élucubrations angélistes et naïves de nombre de prétendus « intellectuels », le temps des guerres civilisationnelles est bel et bien revenu, et c'est l'islam qui a déclaré une nouvelle fois une telle guerre contre la civilisation européenne. Tous les Européens doivent aujourd'hui en prendre conscience et être prêts, pour ne pas avoir un jour très prochain à subir la Charia, à se défendre, et tout d'abord sur leur propre sol.
http://www.nonali.com/islam-religion-barbare/divers/le-danger-de-lislam/
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