Lorraine
Wassyla Tamzali à Montréal les 2, 8 et 9 novembre 2011
Wassyla Tamzali Biographie
1-Femmes arabes, laïcité, égalité des sexes : mercredi 2 novembre 2011, 19h00Salle « Cœur des sciences » de l’UQAM 200, rue Sherbrooke ouest, Montréal
Table ronde : Wassyla Tamzali, Yasmina Chouakri, Leila Lesbet, Émilie Guimond-Bélanger, Jacques Beaumier
Organisée par la Coalition laïcité Québec (en collaboration avec la Chaire de recherche en immigration, ethnicité et citoyenneté de l’UQAM (CRIEC) et le Festival du monde arabe)
Dans le présent contexte politique du « printemps arabe » où plusieurs populations du Moyen-Orient et du Maghreb ont remis en marche le cours de l’histoire, nous sommes témoins du rôle des femmes dans cette marche vers la justice, la démocratie, la modernité et la laïcité.
Qu’en est-il des Québécoises d’origine arabe ? Quel est le rôle de la laïcité pour faire avancer l’égalité entre les femmes et les hommes? Et de quelle laïcité s’agit-il? Nos choix par rapport à la laïcité s’articulent-ils avec les valeurs fondatrices du Québec, à savoir la primauté du français, l’égalité entre les femmes et les hommes ainsi que la séparation entre l’État et les religions ?
2- Les révolutions arabes et les femmes : Mardi 8 novembre 2011, 18h00
Maison de la culture Frontenac 2550, rue Ontario Est
Conférence : Wassyla Tamzali
« Les révolutions arabes méritent bien leur nom. Pour nous femmes, c’est un nouvel espoir après celui trahi des indépendances. Aujourd’hui, l’histoire se remet en marche. Nous allons enfin tourner la page du post-colonialisme et prendre le chemin qui mène de la libération nationale à la liberté pour tous et pour toutes. La démocratie, le féminisme et la laïcité comme condition préalable seront au cœur du développement du changement dans les pays du sud de la Méditerranée. » (Wassyla Tamzali)
3- Le monde arabe : laïc ? démocratique ? Mercredi 9 novembre 2011, 18h00
Maison de la culture Frontenac 2550, rue Ontario Est
Table ronde: Wassyla Tamzali, Sami Aoun, Mohammed Aziz, Faten Guedouar
Faisant l’objet d’un discours cristallisé le montrant comme réfractaire au processus universel de la démocratie et évoquant avec force la « singularité arabe » synonyme de dysfonctionnement de la société, rigidité politique et déterminisme culturel, ce panel s’intéresse à l’après-révolution du monde arabe, champ fertile pour des débats passionnés entre deux visions antagonistes de la société: Un État laïc en phase avec les droits de l’homme et les libertés individuelles et un État islamiste où la situation des droits de l’Homme pourrait connaître une régression.
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