jeudi 16 janvier 2014
Non à la burqa comme uniforme à l’école
Image de la femme vertueuse dans la société islamo-occidentale du futur. Une armée de femmes, sans visage, de femmes esclaves, de femmes grillagées. Cette société nouvelle, vaste théâtre lugubre, peuplé d’ombres noires, se prépare déjà dans les écoles islamiques, non pas en Afghanistan ou au Pakistan, mais en Occident
J’aimerais ici rappeler la belle chanson de Pierre Perret, que je dédie aux femmes afghanes, esclaves des talibans, les « pieux et purs » Musulmans :
« Quand la femme est grillagée, toutes les femmes … », notamment en Grande Bretagne.
Chanson ostracisée par les médias, car politiquement incorrecte.
Femmes afghanes dans les années 1970
Mais, nous dirons les partisans de ce déguisement macabre, le voile, le hijab, la burqa ne sont ni l’expression d’une soumission à une autorité masculine, car en islam, le législateur c’est Allah et non les hommes, ni une humiliation, ni une atteinte à la liberté de la femme, mais les parures de la modestie, de la pudeur, pour plaire à Allah… Ou l’art d’enrober le machisme musulman dans du loukoum à la rose.
La Grande Bretagne est en train de récolter les fruits amers de sa politique multiculturelle décennale débridée, de sa tolérance maladive et de sa soumission servile à l’islam, à ses adeptes et à ses défenseurs.
Celui qui doute encore de la nature suprémaciste de l’idéologie islamique, qu’il s’informe sur ce qui se passe dans les écoles islamiques anglaises, un sujet qui fait la une des journaux britanniques depuis quelques mois.
Allégations évidemment niées par l’école Al-Madinah, créée en 2012. Toutefois, quelques jours avant ces plaintes, des enseignantes furent priées de signer de nouveaux contrats, les obligeant à porter le hijab et leur interdisant le moindre bijou, peu importe leur religion.
Elles exprimèrent également leur inquiétude quant à d’autres pratiques, instaurées par l’école, notamment l’interdiction de toute nourriture non halal et l’obligation pour les filles, même les petites de 4 ans, de s’asseoir dans le fond de la classe, derrière les garçons. Ou comment inculquer aux garçons musulmans, dès leur plus jeune âge, leur « supériorité innée » sur les filles.
Et d’aucuns prétendent, le sourire aux lèvres, que l’islam garantit l’égalité des droits aux femmes. Ils nous prennent pour des buses, ces apologistes de l’idéologie de toutes les injustices, de toutes les intolérances, de toutes les inégalités.
Même les enseignantes chrétiennes furent priées de porter l’habit islamique, et ce en conformité avec la grande « tolérance » coranique, mais ces dernières refusèrent et quittèrent l’école.
Tandis que dans nos écoles laïques et libres, nous sommes gentiment forcés de nous plier aux exigences des Musulmans, au nom de la tolérance et du vivre ensemble, dans leurs écoles musulmanes, aucune dérogation à la loi islamique n’est tolérée, les non Musulmans sont obligés de se soumettre à leurs exigences, au nom du respect de leur « religion » et ce dans nos propres pays..
Où toute l’absurdité d’une situation, qui reflète parfaitement bien le cynisme de la pratique musulmane, qui consiste à faire payer par les « kouffars » leur jihad de conquête de l’Occident et ce avec l’assentiment et la collaboration des « élites » politiques.
A. Choudary, le prêcheur radical islamiste britannique, d’origine pakistanaise, mène une campagne pour créer des émirats islamiques indépendants, au sein même du territoire anglais. Douze villes sont concernées par ce délire, y compris ce qu’il appelle le « Londonistan ». Ces « émirats islamiques » fonctionneraient comme des enclaves indépendantes, uniquement régies par la loi de la charia.
Des extraits de son discours, publiés par « The Sun » le 17 février 2013 attirèrent à nouveau l’attention sur ce problème grave et croissant de l’exploitation de nos systèmes de protection sociale par les Musulmans, que ce soit en Grande Bretagne ou ailleurs en Occident.
Dans la vidéo, Choudary affirme que les Musulmans ont le droit de prendre l’argent des non Musulmans et se moque ouvertement de ceux qui travaillent. « Vous avez des gens qui travaillent toute leur vie. Ils se lèvent à 7h00 du matin, travaillent huit à neuf heures par jour, rentrent à la maison à 19h00 et ce pendant 40 ans de leur pauvre existence. Nous appelons cela de l’esclavage… Quel genre de vie mènent donc ces gens ? Tout simplement, la vie du “kouffar”… »
Choudary exhorte ses frères en Allah à suivre l’exemple de figures très révérées de l’histoire islamique, qui ne travaillaient qu’un jour ou deux par an. Le reste du temps, ils étaient occupés à mener le jihad pour la gloire d’Allah. Et si les gens vous reprochent de ne pas travailler, répondez : c’est normal pour nous les Musulmans de prendre l’argent des « infidèles », ce sont des contributions pour le jihad, financées par les « kouffars ».
Le Premier Ministre David Cameron, déclara, lors d’une interview à la BBC, que le gouvernement devait soutenir les institutions, qui prônaient l’interdiction du voile intégral musulman dans les écoles du pays.
Ses commentaires faisaient écho à la polémique sur les écoles islamiques en Grande Bretagne, qui imposent des vêtements religieux – la burqa et le hijab – comme uniformes aux élèves.
C’est par la force du nombre que les Musulmans en Occident font plier nos Autorités : en un clin d’œil, ils se rassemblent par milliers, comme des nuées de sauterelles, et imposent leurs revendications par la crainte que ces foules compactes et furieuses inspirent.
Le voile islamique intégral suscite de plus en plus de rejet en Occident et son interdiction devrait être généralisée. Laisser cet accoutrement humiliant pour la femme proliférer dans nos pays c’est paver le chemin de l’islamisation, car le voile islamique, qu’il se décline en simple foulard, en hijab, en niqab ou en burqa, est l’un des symboles politiques de l’islam conquérant.
L’inquiétude française est, par ailleurs, amplement justifiée. N’importe quel terroriste peut se déguiser en « vertueuse musulmane » et se faire exploser au milieu d’une foule, comme les veuves noires en Russie, jeter de l’acide sur les passants, ou braquer des banques, des magasins, etc. En juin dernier, six hommes en burqas ont pillé le grand magasin Selfridges de Londres. Ils ont brisé les vitrines et emporté toutes les montres de luxe.
Alors que le débat sur la tenue vestimentaire de la femme musulmane a fait la une des journaux britanniques au cours des dernières semaines, une étudiante du Bromley College de South London, a qui on avait demandé d’enlever sa casquette pour identification, refusa d’obtempérer, à moins que les élèves musulmanes n’enlèvent également leur voile, se plaignant à juste titre d’une politique de deux poids, deux mesures.
Porter ce joli béret est interdit par l’école pour raison de sécurité, même si l’élève est parfaitement identifiable.
S’annihiler sous ce voile intégral islamique est autorisé, pour éviter les émeutes musulmanes, peu importe si ce déguisement porte atteinte à la sécurité, car il ne permet pas l’identification de l’élève.
Personnellement, ce qui me dégoûte au plus haut point, c'est cette réaction typique de tout bon musulman en Occident, à qui tout est dû, mais qui n’éprouve aucune compassion pour les massacres des non Musulmans, que ce soit en terre d’islam ou en Occident.
vu ici
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire