La
charia doit être combattue au même titre que l’Apartheid et le
nazisme; il est irresponsable et criminel de la laisser prospérer en toute
impunité pour ne pas soi-disant heurter les musulmans dans leur croyance,
alors qu’ils sont les premières victimes de son poison mortel.
Ne pas
prendre la mesure de sa haute toxicité afin de l’éradiquer, c’est tout
simplement exposer l’humanité à une probable contamination et banaliser la
pédophilie et le racisme anti-femme.
Avec
elle, c’est le retour assuré de la barbarie humaine dans toutes ses formes les
plus cruelles : justice expéditive, lapidation, châtiment corporel, meurtre,
autodafés, appels au meurtre au nom du sacré, flagellation, la lapidation, la
décapitation, le bannissement, des femmes, la dhimmitude, le système
ignoble de la kafala, le dlihad, le dijihad du nikah, le délit du
blasphème, l’apostasie, l’esclavagisme, les rapts, les razzias, l’inquisition,
le viol conjugal, l’homophobie, le racisme et l’antisémitisme érigé en mode de
gouvernement voire en religion, les actes de brigandage, la répudiation, etc.
Son
caractère machiste, ségrégationniste, discriminatoire, inégalitaire,
raciste et misogyne condamne la femme au statut de l’éternelle recluse
juridique, non dotée de personnalité juridique et incapable de discernement qui
lui permet d’ester en justice.
Ainsi une
femme victime d’abus sexuel ou de viol ne peut porter plainte sous peine de se
retrouver sur le banc des accusées comme le rapporte une Franco-Marocaine
victime d’un viol à Dubaï et qui s’est retrouvée en prison au motif qu’elle est
responsable de son propre viol ( Touria Tiouli: en prison à Dubaï pour avoir
été violée éd. Michel Lafon 2004).
Aux
termes de cette loi canonique, la femme est un champ de labour qu’Allah a
offert à l’appétit sexuel du mâle musulman. Un objet lubrique, une poupée
gonflable, n’est-elle pas dépourvue de foi et de raison ? Ses droits sont
ceux que lui fixe son mari ou le membre mâle de sa famille ou sa belle famille
en cas d’absence de son époux. Elle est tenue à suivre la voie que Dieu lui
recommande et qu’elle ne peut y déroger pour quelle que raison que ce soit sous
peine de se voir condamner à la double peine. Celle que son conjoint est
susceptible de lui infliger en cas d’insoumission et le Châtiment final (la
sourate de la femme est fort édifiante à ce sujet). La femme sert de variable
d’ajustement pour lutter contre le chômage des hommes. L’éternel bouc-émissaire
de tous les maux incurables qui frappent les musulmans depuis 1435 ans.
Elle est le bouc-émissaire de tous les maux de la société. Elle réduit la femme à l état d’objet sexuel dont la seule fonction sociale est d’assouvir les pulsions sexuelles de son maître auxquelles elle ne peut s’y soustraire au risque de se faire maudire une nuit entière par les Anges(sourate de la femme) Le corps de la femme n’est il pas assimilé dans le Coran à un champ de labour propriété de l homme qu’il pourra labourer qu’il pourra labourer à volonté. Le mariage n’est pas facteur de sécurité et surtout synonyme de vie commune pérenne comme dans notre droit positif.
La charia qui fait de la polygamie son mode d’expression majeure et donc de la femme un bien marchande de caractère sexuel et éphémère attribue à l’homme un véritable droit de veto, l’immunisant contre toutes tentatives velléitaires de la part de sa concubine à cause du fait qu’il dispose de ce droit inique, exorbitant, mais combien redoutable: le droit à la répudiation sans s’embarrasser de la moindre procédure et en l absence de motif valable et sérieux.
A
supposer qu’il y en ait, mais, mais il est l’aisé à l’entière appréciation de
l’homme, seul procureur, juge et partie dans le cas d’espèce sans que les
droits de la défense soient reconnus du fait qu’il détient aux termes de la
charia un droit de prééminence sur la femme, son obligée inconditionnelle, sa
chose, est souverain, il jouit d’un pouvoir totalitaire qui contraste avec
l’état d’asservissement juridique dans lequel est maintenu la femme qui n’est
pas en droit d’exercer l’autorité parentale conjointe, de prétendre à la garde
d’enfants en cas de séparation.
De même
que la charia fait interdiction absolue à un homme marié à une non-musulmane
d’élever ses enfants dans une autre religion que la sienne.
L’enfant est toujours considéré comme musulman indépendamment de la religion de sa mère.
En conclusion, cette loi canon n’est
rien d’autre que l’expression majeure d’un système idéologique dont la finalité
est de coloniser le corps et l’esprit des femmes au profit de son maître
esclavagiste sous couvert du sacré.
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