samedi 23 novembre 2013

Une expo qui critique l’islam maintenue malgré les menaces

Posted On 22 nov 2013


L’art au service de la défense de la Liberté d’expression ou la passion de la liberté.
Nous assistons à l’émergence d’une politique de censure visant à réduire au silence quiconque ne respecte pas l’exigence de plus en plus virulente de l’OCI : l’interdiction de toute critique de l’Islam – y compris ses innombrables crimes.
Par contre, le racisme islamique, la haine des infidèles, règnent en maître et ne sont jamais l’objet de poursuites judiciaires. Les Musulmans sont endoctrinés et enjoints par les organisations islamiques « modérées », ayant pignon sur rue d’exploiter la démocratie occidentale pour occuper nos pays et une fois majoritaires, y instaurer la loi d’allah, la charia.
Oriana Fallaci, farouche ennemie de l’islam et fervente opposante à l’ignoble projet Eurabia, avait une fois comparé l’islam à un étang fétide :
« L’Islam est un étang. Et un étang est une cuvette d’eau stagnante… Il n’est jamais purifié… Il se pollue facilement, comme un trou destiné à abreuver un bétail de peu de valeur. L’étang n’aime pas la vie : il aime la mort.”
Passion for Freedom
Mais de temps à autre, dans cette atmosphère de plus en plus étouffante, un souffle de liberté, accompagné d’un rayon de lumière viennent redonner l’espoir : non, l’islamisation forcée de l’Occident n’est pas inéluctable. Des voix courageuses s’élèvent pour s’y opposer et malgré les menaces, poursuivent le combat, à leur façon. Comme par exemple ces artistes, ayant participé à Londres, ville hélas parmi les plus islamisées d’Europe, à une exposition d’art critique envers l’islam, dédiée à la défense de la Liberté d’expression, joliment appelée « Passion for Freedom ».
Ainsi, à Londres, l’art se met au service de la défense de l’une des valeurs fondamentales de l’humanité, le droit à la liberté, ce bien si précieux, si cher à nos cœurs, mais hélas si attaqué par ceux qui veulent le faire disparaître.
A Londres donc, une exposition d’art critique envers l’islam a été maintenue en dépit des menaces
« Vous devez bien sentir la pierre dans votre main. Elle ne doit être ni trop lourde, ni trop légère, pour vous permettre de la lancer bien loin. »
Ainsi furent accueillis les visiteurs médusés, quand, descendant les escaliers étroits qui menaient à l’entrée de la galerie, ils reçurent une pierre en guise de bienvenue. Ils jouèrent le jeu, prirent la pierre, et se promenèrent dans la galerie, admirant les œuvres d’art exposées.
A mi-chemin dans la galerie, ils comprirent la signification de ce présent insolite.

LA PIERRE PARFAITE

Sur un pilier de la salle d’exposition, l’article 102 du code pénal iranien était affiché. Il décrivait comment la femme infidèle devait être lapidée à mort, ainsi que la taille idéale de la pierre à utiliser.
Stenings-tekstlapidation
“Elle ne doit être ni trop petite, ni trop grosse et la lapidation ne doit pas se faire trop rapidement »
(La cruauté islamique : faire durer le plaisir des justiciers d’Allah par la lente agonie de la victime).
Cet oeuvre est appelée “La pierre parfaite” et à l’instar d’autres oeuvres exposées, elle se réfère clairement à l’islam.
“Les references à l’islam ne sont pas des coïncidences», a déclaré l’une des organisatrices, Marianne Fox, « car il est impossible d’ignorer l’islam ».
« Nous avons demandé aux artistes de se baser sur le concept de la liberté, car elle est très difficile à conquérir, mais si facile à perdre. »

«Avec un tel thème, comment ne pas se référer à l’islam, à la fois à l’échelle du monde, mais également ici au Royaume Uni, où l’islamisme gagne du terrain et où nous voyons apparaître la censure et les lois liberticides, réprimant les soi-disant discours de haine. »
« D’autres œuvres sont exposées, sans référence à l’islam. Nous essayons de mettre l’accent sur toutes les menaces relatives à la liberté, car nous pensons qu’elle est de plus en plus violemment attaquée. »
Le fait de souligner que l’islam est une menace pour la liberté ne relève pas de l’exagération, encore moins de la paranoïa. Deux jours avant l’ouverture, les organisateurs, parmi lesquels les membres du mouvement «Une loi pour tous » durent faire face à une situation des plus alarmantes.
Marianna Fox reçut un mail angoissé de la propriétaire de la galerie, avec laquelle elle avait signé le contrat. Son message disait clairement qu’elle avait été la cible de menaces de mort et exprimait sa crainte d’être tuée par des « gentlemen » de la si belle « religion de paix ».
« Nous dûmes trouver rapidement une autre solution et heureusement, tout se termina bien » ajouta Marianna Fox.
Le temps presse et c’est juste une question de temps avant que notre liberté d’expression ne disparaisse à jamais
« C’est la cinquième année consécutive que nous organisons cette exposition et apparemment, certains ne l’apprécient guère. Cela prouve que ce que nous faisons dérange. Nous n’avons pas peur et nous n’avons aucun autre choix. Le temps presse et c’est juste une question de temps avant que notre liberté d’expression ne disparaisse à jamais. Nous devons réagir à cette menace. Nous ne craignons pas d’être taxés de racistes.»
Plusieurs artistes sont très explicites dans leurs critiques de l’islam.
Matthew E. Sun, par exemple, qui non seulement expose une photo de Mahomet, mais ose aussi le critiquer.
Vous ne craignez pas d’être taxés de raciste ?
« Non, pas du tout. Nous avons des Musulmans et des Noirs parmi nos artistes. Il ne s’agit pas de race, mais de liberté. Nous avons des œuvres d’artistes féministes, qui critiquent le capitalisme et d’autres s’insurgent contre la situation des homosexuels en Pologne. De nombreux artistes n’ont pas été autorisés à exposer leurs œuvres ailleurs, il est donc de notre devoir de leur offrir une plateforme ici à Londres. »

COUPS DE FOUET AU CORAN

Parmi les centaines d’oeuvres soumises, le jury en a sélectionné trente-quatre, qui sont aujourd’hui exposées.
L’une d’elle appartient à une artiste danoise d’origine iranienne, Firoozeh Bazrafkan, qui arriva au Danemark à l’âge de 5 ans. Ses parents fuyaient une théocratie, dont la relation avec la liberté était – et est toujours – plutôt tendue …
Elle fouette le coran 99 fois
Lors du vernissage, le 2 novembre dernier, le public a pu voir une vidéo dans laquelle Firoozeh Bazrafkan sautait à la corde sur une photo du leader révolutionnaire iranien, l’ayatollah Khomeini. C’était sa manière de célébrer l’anniversaire de la révolution iranienne et de commenter l’oppression massive qui s’abattit sur les femmes après la révolution.
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Sur une autre vidéo, elle fouettait le coran 99 fois, pour rappeler le nombre de coups de fouets infligés à Sakineh, jugée coupable d’adultère.
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Hena 14 ans 100 coups de fouet
Au Bangladesh, Hena 14 ans, violée dans les toilettes par son cousin trois fois plus âgé, a été condamnée à 100 coups de fouet, conformément à la charia. Elle a supporté 70 coups, puis elle est morte.
Firoozeh Bazrafkan a été accusée de racisme après avoir écrit sur son blog, publié sur le site du journal Jyllands-Posten en décembre 2011, qu’elle était «convaincue que des hommes musulmans, partout dans le monde, violent leurs filles, abusent d’elles et les tuent.»
Elle a ajouté : «En tant que Danoise née en Iran, j’estime que cela découle d’une culture déficiente et inhumaine, à supposer même qu’il s’agisse d’une culture ».
Je ne veux pas voir l’Europe s’islamiser
Enfin, elle donna une représentation en direct : debout sur le podium, au milieu de la galerie, la tête couverte de 7 voiles islamiques, elle retrouva son chemin vers la liberté, avec l’aide d’une paire de ciseaux : «Je ne veux pas voir l’Europe s’islamiser, j’essaye de montrer certains des côtés négatifs de l’islam.» a déclaré l’artiste.

UN PROPHETE FRAGILE

“Prophète” est le nom d’une autre œuvre, qui a suscité une très grande attention. Dans un montage photo, vous pouvez voir Jésus et Mahomet côte à côté. Jésus est suspendu à la croix, tandis que Mahomet se tient debout, flanqué de deux inscriptions :
« Fragile, à manipuler avec précaution »
L’artiste, Matthew E. Sun, explique : « Cette œuvre illustre la grande différence entre les deux religions.
Le contraste est saisissant: Jésus, suspendu à la croix, se sent abandonné par son Dieu. Mahomet, qui sourit, fort et puissant, demande pourtant à être protégé de toutes les manières possibles »
Prophets

MA PETITE ROBE DE MARIEE


Une troisième œuvre, de l’artiste Katarine Uzakova, a également attiré l’attention : elle illustre une certaine «tradition culturelle» qui autorise le mariage de très jeunes fillettes avec des hommes plus âgés… Cette œuvre est appelée : « Ma petite robe de mariée » et mesure 60 cm x 40 cm.
My Little wedding dress
Plusieurs artistes reçurent un prix. Une récompenses fut également attribuée au documentaire «Conquête silencieuse» (Silent Conquest), décrivant l’influence grandissante de l’islam en Occident.
Lars Hedegaard, le Président de la “Danish Free Press Society” grand défenseur de la liberté d’expression, dont la vie est menacée en permanence, a aussi été récompensé.
L’exposition « Passion for Freedom » a été ouverte au public du 2 au 9 novembre et se tiendra à nouveau l’année prochaine.
Rosaly : en Occident, nous jouissons momentanément de la liberté politique, de la liberté d’expression, de la liberté de culte.
Cela implique que chacun a le droit d’exprimer ses opinions politiques et ses croyances religieuses et de critiquer celles des autres. Or ce droit, pour nous les Européens de souche, commence à se réduire.
Par contre, les islamistes, dans nos pays, ont le droit de défendre leur conception de la société, à savoir la mise en place d’une théocratie régie par les lois de leur dieu, la charia, abolissant les lois humaines, la liberté d’expression et la démocratie.
Mais alors, pourquoi la réciproque n’est-elle pas autorisée aux Occidentaux, dans leurs propres pays, aux noms de ces mêmes libertés démocratiques ? Pourquoi ces théocrates de la charia s’insurgent-ils contre toute critique de leur idéologie ? Pourquoi nos autorités poursuivent-elles quiconque ose informer ses concitoyens du danger inhérent à la conception islamique de l’Etat et de la Loi ? Pourquoi les organisations musulmanes s’opposent-elles à toute critique de leur idéologie et usent et abusent du subterfuge de la victimisation avec la bienveillante complicité des autorités judiciaires pour intenter des procès kafkaïens à quiconque fait preuve d’audace, de courage pour s’opposer à leurs concepts totalitaires ? Pourquoi cette tolérance très sélective, toujours en faveur des communautés musulmanes ?
Ce qui est permis aux Musulmans au nom de la tolérance et de la liberté d’expression est interdit aux non Musulmans sous peine de poursuites judiciaires.
Menaces, agressions, tentatives d’assassinat, meurtres sont les moyens utilisés par les intégristes de l’islam pour réduire au silence quiconque s’oppose à l’avancée de l’idéologie islamique en Occident.
Malgré les procès et menaces à l’encontre des défenseurs de la liberté, la lutte contre l’idéologie islamo-nazie ira s’amplifiant. Et j’espère, que cette marche forcée vers un crépuscule meurtrier de nos libertés, décidée par les instances onusiennes et eurabiennes à la solde de l’OCI, sera arrêtée par la volonté de nos peuples. Car l’amour de la liberté est profondément ancré dans le coeur de l’être humain, et aucun totalitarisme, qu’il soit religieux ou idéologique, ne résiste longtemps à cette soif de liberté, même si le prix à payer est parfois très, très élevé.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source : «Islam-critical art exhibition survived despite threats» by Nicolai Senels (traduit, adapté et commenté par Rosaly)
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